En refusant la main tendue par F. Fillon, le 1er Secrétaire du PS montre qu'il parie sur la crise à terme.
La crise financière n'est que l'avant poste d'une probable crise politique affectant les Gouvernements qui n'ont pas ramené les marchés à davantage de sagesse.
Dans ces conditions, pourquoi "serrer les coudes" avec des Gouvernements qui demain auront perdu, à leur tour, beaucoup de crédit ?
L'adoption de mesures sociales-démocrates avec ce retour en force des nationalisations crée un terrain favorable à la gauche qui va dénoncer la socialisation des pertes et la privatisation des profits.
A quand un "bouclier fiscal" pour le contribuable ?