Un rapport tronqué
Voici ce que dit le rapport d'Agoravox en préambule :
"Celui qui cherche à se faire une idée par lui-même sur la réelle efficacité (tenant compte des ratios bénéfices/risques et coûts/bénéfices) de la vaccination, est bien embarrassé, car dans les discours officiels comme dans la presse, les risques sont généralement tus ou fortement minimisés. Les témoignages d'effets indésirables (pour lesquels le système de notification est embryonnaire et face auxquels les résistances du milieu médical sont fortes) pullulent en revanche sur les sites internet, dans les forums, dans les livres et quelques revues. Les arguments des "pour" comme ceux des "contre" sont pour la plupart appuyés sur des travaux et des publications scientifiques. Le problème est que ces arguments opposés ne sont JAMAIS confrontés directement et dans une même tribune. Chacun s'exprime de son côté soupçonnant la partie adverse des pires pensées.
1) Les autorités et les médias prennent généralement les Français pour des enfants immatures et irresponsables à qui on refuse l'information contradictoire au sujet de la vaccination : il préfèrent "sensibiliser" plutôt qu'informer pour éviter à tous prix les interrogations, les réticences vis-à-vis de la vaccination et, par suite, le rétrécissement de la couverture vaccinale. Pour "protéger la collectivité", il faut obliger ceux qui doutent et punir ceux qui refusent. Or, cette attitude dogmatique, paternaliste et militaire, quasi unique au monde, produit directement, à mon avis, l'effet inverse au but poursuivi : elle déstabilise et radicalise ceux qui souffrent des effets indésirables des vaccins et augmente la méfiance dans la population qui devient dès lors perméable aux propos contestataires répandus hors des circuits officiels.
2) Le discours virulent de quelques opposants à la vaccination (ils sont rares), individuellement ou en associations, rend leur message critique quasi inaudible par la société. Ne voyant dans les vaccins que des poisons, voire un outil conçu par un complot mondial dans un objectif génocidaire, ces contestataires dramatisent le débat, ce qui ne facilite pas la recherche de la vérité par tous ceux qui s'interrogent sincèrement." (p.4-5)
Cet extrait est particulièrement éloquent: Contrairement à ce qui est dit, il ne s'agit pas de faire un débat contradictoire sur les vaccins mais de savoir si ceux-ci ont une efficacité scientifiquement prouvée et c'est ce sur quoi s'appuient les opposants aux vaccins qui sont caricaturés dans le deuxième paragraphe, même si nous sommes d'accord avec les propos tenus dans le premier. Comme pour tempérer ses assertions, le rapporteur ajoute :
"Précisons que la plupart des contradicteurs ne sont pas des sectes ni des opposants systématiques mais généralement des personnes qui pensent souffrir des effets indésirables des vaccins et qui se positionnent seulement sur le souhait de la liberté de choix."(ibid.)
Merci de le dire! Si le discours antivaccins est parfois virulent, cela s'explique par le fait qu'il n'y a pas moyen de faire entendre sa voix, l'omerta imposée par le mafia médico-pharmaceutique et le milieu politique s'appuyant sur la veulerie des médias. On est loin de la théorie du complot arguée par l'auteur du rapport. En outre, le rapporteur ignore délibérément (malgré nos interventions sur Agoravox) le fait que l'opposition aux vaccins puisse émaner de professionnels issus du monde scientifique ou médical alors qu'ils ne manquent pas d'arguments. Quant à considérer que les vaccins sont des poisons, nous aurons l'occasion d'en reparler plus loin. Ce qu'il faut retenir de ce rapport, c'est qu'il est passé à côté de l'essentiel, à savoir si la théorie de Pasteur sur le vaccin s'appuie sur un argument scientifique valable et sans lequel on ne saurait justifier l'obligation vaccinale.
Quand Pasteur rime avec imposteur
"Ainsi, comme l'affirme de nombreux auteurs, Pasteur aurait menti : plusieurs historiens dénoncent aujourd'hui ce qu'ils appellent ses mensonges et ses mystifications que maintiennent le chauvinisme français et le loi du profit.
Même le célèbre enfant, Joseph Meister, " sauvé "de la rage fait sourire ceux qui savent que personne n'a démontré que le chien ait été enragé, et personne n'explique pourquoi on a "oublié " de nous dire que le chien, le même jour, avait mordu plusieurs personnes dans le village, qui ne s'en sont pas portées plus mal, sans vaccin!...
La théorie vaccinale du monde entier est partie sur ce cas unique mensonger!
Les responsables de la Santé Publique le savent depuis le début du siècle [dernier] mais ont laissé véhiculer ce mensonge, constatant qu'il existait là un marché potentiel fabuleux!" 3
Il est permis, même pour des non-spécialistes, de mettre en doute les thèses de Pasteur dont les thuriféraires risquent de voir le sol se dérober sous leurs pieds : "Le jeune Rouyer (12ans) fut mordu le 8 octobre 1886 par un chien inconnu, pasteur lui inocula un vaccin par la méthode intensive. Le 26 octobre, l'enfant mourut. Une enquête judiciaire dont fut chargée le Pr Brouardel fut alors ouverte pour déterminer les causes de la mort mais celui-ci, haut personnage bardé de diplômes, était un ami de Pasteur. Dans le laboratoire d'Émile Roux, on inocula une partie du bulbe cervical de l'enfant à des cerveaux de lapins. Quelques jours plus tard, les lapins moururent de la rage mais Brouardel, en accord avec Roux, décida de porter un faux témoignage... Le rapport indiquait: " les lapins sont en bonne santé aujourd'hui ".
Pasteur déclara que l'enfant était mort d'urémie..." 4
Mais voici le pire concernant Pasteur : "...En 1886, les morts connus à mettre au passif de la méthode Pasteur s'élevaient à 74 ... Certains sont morts en présentant les symptômes de la rage ordinaire, d'autres ont succombé à une affection surnommée " rage des laboratoires ..." 5
Enfin, le Pr Tissot nous explique pourquoi le principe même de la vaccination est un non-sens pour de nombreux scientifiques:
"Toute maladie causée par un microbe étranger présente 2 phases : une première phase aiguë avec fièvre durant laquelle le microbe se multiplie durant 8 à 15 ou 20 jours, comprenant l'incubation et la période d'état, et une 2ème phase chronique pouvant durer jusqu'à la mort et comportant les accidents les plus graves de la maladie, dont les uns surviennent tout au début de cette période, d'autres beaucoup plus tard. Pour se multiplier dans le sang, le microbe y fabrique lui-même une substance nommée antitoxine qui agglutine ces éléments et les fait passer à l'état de moisissure, ce qui caractérise le début de la période chronique. Cette moisissure va se loger dans les organes où elle cause des troubles (paralysies, néphrites, etc...) en continuant à former l'antitoxine. Celle-ci est le corps immunisant mais elle ne protège pas contre les troubles que cause la moisissure, puisque c'est celle-ci qui lui donne naissance. Le principe de l'immunité est donc faux :
1- Parce que l'antitoxine prétendue immunisante est fabriquée par le virus et assure son évolution et non sa destruction,
2- Parce qu'un virus devenu vaccin par atténuation peut récupérer sa virulence originelle et provoquer la maladie avec toute sa gravité,
3- Parce que le vaccin inocule à tous les vaccinés (100%) la maladie chronique,
4- Parce que pratiquement, les vaccinations contre la fièvre typhoïde, la variole et la rougeole et la diphtérie n'empêchent pas de contracter la maladie 6 mois ou un an après." 6
Toutes ces arguments se trouvent corroborés par les études épidémiologiques et commençons par le vaccin antidiphtérique en donnant la parole au Dr Jean Méric:
"En France, pendant 18 années de vaccinations (10 ans de vaccinations facultatives, suivies de 8 ans de vaccinations obligatoires), le nombre de diphtéries n'a cessé d'augmenter, passant de 15000 cas en 1925 à 45000 en 1945. En Allemagne, c'est encore plus grave: le nombre de malades déclarés passe de 3000 cas en 1925 à 150000 cas en 1946. L'obligation de la vaccination fut, en Allemagne, totale et strictement respectée par le régime hitlérien" (NB: Le régime nazi rend cette vaccination obligatoire en 1935).
"Après la guerre, constatant l'absence de résultat, l'Allemagne, pour des raisons économiques, n'a plus vacciné. Oh! miracle, elle est alors passée de 153000 cas en 1945 à 20952 cas en 1952 et quelques cas seulement en 1960!..." 7 Et l'auteur de conclure :
"Le vaccin contre la diphtérie n'a pas fait ses preuves, ni épidémiologiquement, ni statistiquement, ni scientifiquement... Il n'y a pas de vaccination possible contre une bactérie quand celle-ci rencontre les conditions locales favorables à son développement. Que l'on soit vacciné ou pas vacciné ne change absolument rien. Ce vaccin est totalement inefficace. Il est donc au minimum souhaitable de laisser le choix de sa santé à l'individu..." 8 Non seulement ce vaccin est inefficace mais dangereux :
"...Vers la fin des années 40, on dénombra en Angleterre de nombreux cas de polio, après l'injection du vaccin antidiphtérique: 50 enfants furent admis au Guy Hospital de Londres, 65 dans les Midlands, et 40 à St Pancras, ce qui amena à interdire le vaccin dans ce pays en 1950. Sur 1308 cas de paralysie survenus en Angleterre et au Pays de Galles à cette époque chez des enfants âgés de 6 mois à 12 ans, 170 cas étaient liés à une injection antidiphtérique..."9
Penchons-nous maintenant sur le cas du tétanos :
" Le chlorure de magnésium est certainement le produit qui guérit avec le plus de succès le tétanos, ainsi que d'autres maladies infectieuses comme la diphtérie, la poliomyélite..."
" En 1932, le Dr Neveu, élève du professeur Delbet, guérit une petite fille atteinte de diphtérie avec du chlorure de magnésium. Enthousiasmé par les succès obtenus sur d'autres malades atteints de diphtérie et de tétanos, le Dr Neveu désira faire présenter un rapport à l'académie de médecine:
"Le Pr Delbet, lui-même membre de l'académie de médecine tenta de présenter ce rapport devant cet auditoire. Il écrivit au Dr Neveu : "La publication de ma communication est définitivement refusée. Le conseil de l'académie a trouvé, après six mois de réflexion, l'argument suivant: En faisant connaître un nouveau traitement, de la diphtérie et du tétanos, on empêcherait les vaccinations..."
" ...L'académie de médecine a donc délibérément décidé d'étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vies mais qui aurait risqué de concurrencer une vaccination. Cela prouve quels puissants intérêts dictent à l'académie sa conduite!.." Et quid du vaccin antipolio? Le constat est tout aussi accablant :
"En 1956, le vaccin antipolio est mis sur le marché. La France a environ 1200 cas de polio, cette année-là. En 1957, le nombre de cas passe à 4109. "
"...Toutefois, après une chute spectaculaire en 1958, le nombre de cas s'accroissait de 60% l'année suivante (1600 à 2600), malgré l'extension des vaccinations. Un peu comme à Niamey, 30 ans plus tard, on voyait la polio s'étendre dans une population vaccinée.
Cette remontée de 1959 a dû gêner nos autorités sanitaires qui l'ont camouflée..." 10
Enfin, laissons Sylvie Simon conclure avec cette imposture scientifique qu'est le vaccin:
"...Le virus de la polio a été exacerbé par la vaccination antidiphtérique, provoquant des vagues épidémiques en Afrique et en Asie dans les zones à hygiène précaire où circulent encore des virus sauvages (surtout dans l'eau); Ailleurs seuls les virus vaccinaux sont à l'origine de la maladie. Voilà qui devrait suffire à mettre fin à la vaccination. On avait abandonné en 1979 la vaccination antivariolique car ses effets secondaires étaient plus graves et plus nombreux que la maladie elle-même. Qu'attend-on pour en faire autant avec la polio?
Quant à ceux qui ont "peur " de la maladie, signalons que le traitement à base chlorure de magnésium est très efficace, comme le prouvent les témoignages du Dr Neveu." 11
Donc les vaccins sont au mieux inefficaces et au pire dangereux et dans toutes les études épidémiologiques, on constate que les populations non vaccinées résistent mieux aux maladies que celles qui ne le sont pas! Ce constat s'applique bien sûr au BCG qui n'est plus obligatoire depuis juillet dernier.
Même le rapport d'Agoravox abonde dans ce sens :
"De même, contrairement à ce qui est hautement proclamé, on ne connaît pas de maladie qui ait été éradiquée par un programme de vaccination. La disparition d'une maladie par le seul biais de la vaccination reste donc pour l'heure une croyance, et non un fait scientifique avéré. Les progrès de l'hygiène, une alimentation correcte et le confinement des foyers d'infection, du moins pour la plupart des maladies, semblent des mesures prophylactiques certainement au moins aussi efficaces que les vaccinations."(p.47) Il faudrait plutôt dire: "sont les seules efficaces". Ce sont ces progrès qui expliquent sans aucun doute la disparition du continent européen de maladies telles que la peste et le choléra, ceci longtemps avant Pasteur. Enfin, les vaccins actuels contiennent des produits hautement toxiques pour l'organisme.
Cependant, toute la mythologie entourant les vaccins et Pasteur conduisirent les pouvoirs publics à instaurer l'obligation vaccinale pour le BCG pour l'étendre ensuite à la diphtérie le tétanos et la poliomyélite (vaccin dit DT-polio)
Un véritable empoisonnement collectif
"...Le BCG prit rapidement un essor considérable et combla d'aise et d'argent l'institut Pasteur et un un corps médical d'une incompétence et d'une naïveté redoutables. Les promoteurs de cette affaire machiavélique, une vingtaine de familles tenant la santé en otage : mandarins, enseignants, propriétaires de laboratoires, etc... firent voter en 1949, à la sauvette, par l'Assemblée nationale et le Conseil de la République, la vaccination obligatoire par le BCG, lequel BCG, gratuit, est en réalité financé par le contribuable français... Curieusement, en 1949, le Président du Sénat était le PDG de l'institut Pasteur!..." 12 . Cela montre que l'obligation vaccinale a été instaurée pour des intérêts financiers et non pour des raisons réelles de santé publique car ainsi que nous l'avons vu, l'Allemagne et le Royaume-Uni firent exactement le contraire avec même pour ce dernier l'interdiction pure et simple du vaccin antidiphtérique en 1950, chose inimaginable en France encore aujourd'hui, tant les esprits ont été infectés par cette mythologie du vaccin et le rapport d'Agoravox résume la position des pouvoirs publics comme suit:
" La vaccination (en général) est un acte médical de prévention efficace, facile à mettre en œuvre et sans danger, hormis quelques risques légers d'effets secondaires mais qui sont négligeables face aux bénéfices globalement apportés.
La vaccination a permis de sauver des millions de personnes de diverses maladies graves. Grâce à elle, certaines maladies ont été éradiquées. D'autres sont en passe de l'être si la couverture vaccinale se maintient à un bon niveau. C'est pourquoi il faut continuer à vacciner même si les occurrences de certaines de ces maladies sont rares ou aujourd'hui inexistantes: pour empêcher leur réémergence.
La seule chose raisonnable que le citoyen puisse faire est donc de connaître son calendrier vaccinal et de s'y conformer. Toute autre attitude est dangereuse, voire criminelle, et ne peut être le fait que d'illuminés, de charlatans, de gourous et de membres de sectes.
Le doute ou la critique sur l'efficacité de la vaccination sont dangereux car ils peuvent conduire à une réduction de la couverture vaccinale. Le refus vaccinal est criminel car il facilite la propagation du mal et menace non seulement la santé de l'enfant non protégé mais aussi celle de la collectivité toute entière.
Dans ces conditions, la condamnation à une peine de six mois d'emprisonnement et de 3 750 € d'amende à tous les refus de vaccination obligatoire est légitime.
Telle est, brièvement résumée par nos soins, la position sur la vaccination des autorités sanitaires et politiques, des industriels (pharmacie) et des médias. Ce message est tenu pour vrai par une grande majorité de la population.
Or, notamment depuis les cafouillages des autorités autour du vaccin de l'hépatite B, cette vérité n'est plus tenue pour assurée par tous. La confiance accordée en les bienfaits et l'innocuité des vaccinations, quasi unanime jusqu'à ces derniers temps, se lézarde et ce, malgré le désir à de beaucoup d'y croire encore à 100 %." (p.46). Il faut reconnaître que dans ce rapport, l'argument des sectes a été balayé et toutes celles qui ont été interrogées sur la question des vaccinations ne donnent pas de consignes sur ce point. En revanche, c'est l'attitude stalinienne des pouvoirs publics qui est scandaleuse: le dogme de la vaccination obligatoire est celui du parti des mandarins et des laboratoires pharmaceutiques et ne doit en aucun cas être remis en cause. Les "ennemis du peuple" sont ceux qui refusent de se faire vacciner. Après cela, on se permet de faire la leçon à d'autres pays pour le respect des droits de l'homme. Ce qui est frappant, c'est de constater à quel point l'autorité publique se substitue de plus en plus à l'autorité médicale :
"La vaccination n'est pas un acte bénin. Or, elle est aujourd'hui pratiquée essentiellement comme un acte administratif (plus que médical) s'imposant uniformément à tous sans tenir suffisamment compte de la diversité des particularités génétiques, immunologiques, comportementales et environnementales de chacun. Dans les faits, les précautions prises avant l'acte vaccinal sont souvent superficielles : la visite médicale préalable, quand elle est bien menée, permet au mieux de déceler des contre-indications mais pas d'établir un bilan clinique, sérologique et biologique sûr du futur vacciné." (ibid.). Dans la pratique, les enfants sont vaccinés à la chaîne comme des bestiaux dans une étable, en parfaite violation de l'arrêté du 28 février 1952 complété par la circulaire du 15 juillet 1965, et voici ce qu'on y trouve à l'annexe I, I, B :
"Préalablement à chaque injection, les sujets à vacciner sont soumis à un examen médical pratiqué dans les conditions prévues à l'article 3 de l'arrêté du 28 février 1952.
L'examen médical doit comporter une analyse d'urine (recherche d'albumine et de glucose) et, éventuellement une prise de température.
Les contre-indications posées par l'examen médical sont temporaires et durables.
Les contre-indications temporaires font ajourner la vaccination: leur durée doit être mentionnée, elles s'appliquent notamment aux convalescents d'affections aiguës, aux sujets fébriles, aux porteurs de pyodermites ou d'eczéma, aux sujets pour lesquels est signalé un virage spontané de réaction tuberculinique datant de moins de trois mois. La grossesse et l'allaitement peuvent constituer éventuellement des contre-indications temporaires à certaines vaccinations.
Les contre-indications durables éliminent notamment les sujets atteints de maladies chroniques dont la gravité ou l'évolutivité justifient l'abstention, en particulier les sujets atteints d'affections rénales.
En cas d'épidémie, les vaccinations sont provisoirement déconseillées, sauf celles destinées à lutter contre l'épidémie en cours.
il est recommandé que la veille de la vaccination, le sujet à vacciner soit soumis à une alimentation légère surtout au repas du soir et si possible à une prise de température."
Une atteinte inadmissible aux droits de l'homme
La vaccination pratiquée sans ces examens préalables viole non seulement ces textes réglementaires mais foulent au pied le code de déontologie médicale 13 et en cas d'accident post-vaccinal grave, les responsables pourraient faire l'objet d'une plainte au pénal pour "mise en danger d'autrui". Du reste, la loi relative à l'obligation vaccinale est en contradiction avec le Code civil :
"L'acte vaccinal n'est pas un acte administratif mais médical. L'exercice de la médecine foraine est interdit (cf article 74 du code de déontologie médicale). En tant que tel, il est régi par l'article 16-3 du code civil qui stipule "qu'il ne peut-être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne. Le consentement de l'intéressé doit être recueilli préalablement."
L'article 16-1 dispose également que "chacun a droit au respect de son corps", et que "le corps humain est inviolable".
L'article 16 mentionne aussi que "la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l'être humain dès le commencement de sa vie".
Les dispositions des articles 16 du code civil sont d'ordre public (cf. article 16-9). Elles s'imposent ainsi à toute juridiction.
Ces textes consacrent les droits de toute personne sur son propre corps (érigés en droits subjectifs).Or les droits établis par les articles 16 sont des droits corollaires du principe constitutionnel de dignité de la personne humaine du 27/7/94, qui est né pour apporter au droit le concept de l'humanité dans l'homme.
Le conseil constitutionnel a fait de la dignité humaine un principe de valeur constitutionnelle, décontextualisé, pouvant être décliné dans d'autres circonstances, selon l'occasion. Pour le conseil, il reste cette nécessité de la protection de la dignité de la personne humaine contre toute forme d'asservissement et de dégradation, ce qui est le risque majeur né des progrès des sciences et des techniques au rang desquelles figure prioritairement la pratique vaccinale et sa dangerosité. L'article 16-3 du code civil établit la liberté de choix thérapeutique concernant notamment l'acte vaccinal. Ces droits qui correspondent au droit de l'homme occupent la première place dans la hiérarchie des normes juridiques."14
L'empoisonnement collectif commence dès la naissance :
"Durant les premières années, le système immunitaire du bébé n'est pas entièrement développé. Le lait de la mère, quand l'enfant est nourri au sein, va pallier naturellement cette fragilité en apportant différentes molécules (anticorps IgA, lactoferrine, acides gras antiviraux, hormones, macrophages, etc.) lui assurant à la fois nourriture et protection. Petit à petit, le bébé va développer son propre système. Mais, dès l'âge de deux mois, lui sont administrés les premiers vaccins (il pourra recevoir en tout une cinquantaine d'injections), quel que soit l'état d'avancement de son système." (rapport Agoravox, p.28).
Pour les mères inquiètes de voir leurs enfants se faire traiter ainsi, il y a des moyens juridiques et légaux de s'y opposer, nous les renvoyons au livre de l'avocat Jean-Pierre Joseph mentionné dans la note n°3 à la fin de notre article et qui donne la marche à suivre.
Désormais la cause est entendue: si la vaccination était à la fois efficace et sans danger pour l'organisme, il n'y aurait pas d'obligation vaccinale, il suffirait de faire des campagnes pour inciter la population à se protéger; on peut même dire que c'est parce que les vaccins sont inefficaces qu'on a voulu les imposer. Cette exception française repose non seulement sur des intérêts économiques et financiers (la France est le plus gros producteur de vaccins au monde, avec en tête le laboratoire Sanofi-Mérieux) mais également sur le prestige dont jouissent depuis toujours les médecins en France auprès de la population qui pendant longtemps les a mis sur un piédestal (même si les choses commencent à changer dans ce domaine), de sorte que bon nombre de nos concitoyens, persuadés de l'efficacité des vaccins, ne supportent pas une remise en cause du dogme officiel en la matière 15 de peur de ne plus se sentir protégés (dans les quelques 500 commentaires qui ont accompagné l'enquête d'Agoravox, certains se sont insurgés en disant qu'on avait pas le droit de traiter ce sujet! ). Nous vivons de plus en plus dans une société de la peur qui voudrait être préservée à tout jamais de la maladie; c'est impossible car il y a un point sur lequel les scientifiques sont tous d'accord: dans l'état actuel de nos connaissances, nous savons très peu de choses sur le fonctionnement du système immunitaire, sinon nous serions capables de guérir le cancer et le sida. Il faut donc rester humble face à notre ignorance comme le soulignait Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la santé et de la protection sociale : "Permettez-moi d'aborder l'une des principales leçons des épidémies récentes qui reste pour moi l'humilité face à la menace infectieuse. Il est frappant de constater que l'épidémie de SRAS a pu être contrôlée non pas par un vaccin ou un traitement antiviral, mais simplement grâce à l'isolement des patients et des sujets contacts, qui est une méthode ancestrale. De même, aujourd'hui encore, vingt ans après la découverte du virus, le préservatif se révèle la meilleure arme contre le sida. Il est également frappant, malgré les progrès scientifiques incontestables, que nous sommes toujours incapables de dire comment, pourquoi et quand se produira une nouvelle épidémie." 16
Enfin, laissons le Dr Christian Tal Schaller nous dire, en guise de conclusion:
"Nous vivons à une période très importante de l'histoire de l'humanité. Nous découvrons chaque jour davantage à quel point la "science sans conscience" des dernières décennies nous mène vers la destruction non seulement de notre environnement mais aussi de nos corps, empoisonnés par une avalanche de produits chimiques toxiques. Nous ne pouvons plus, au nom d'idées périmées, laisser les multinationales, au nom du profit à tout prix, détruire notre immunité et celle de nos enfants par des vaccins-poisons. Nous devons prendre la responsabilité de notre santé et sortir de notre hypnose collective suicidaire qui a emprisonné des générations entières d'êtres humains." 17
P.F.
Quelques liens:
Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) :
http://www.ctanet.fr/vaccination-information/
Ministère de la santé et de la protection sociale: http://www.sante.gouv.fr/
Organisation mondiale de la santé (OMS): http://www.who.int/fr/
Notes:
1- Ce rapport peut être téléchargé sur le site d'Agoravox : http://www.agoravox.fr/
2 -Pour accéder à tous les articles, aller sur le site d'Agoravox, et sur la page d'accueil, dans la rubrique "Les dossiers", cliquer sur "Vaccins".
3- Jean-Pierre Joseph, Vaccins, l'avis d'un avocat, on nous aurait menti ? Testez éditions/Marco Pietteur éditeur, 2006, p.80-81
4- Philippe Decourt, Les vérités indésirables - Le cas Pasteur, archives internationales Claude Bernard, ed. la Vieille Taupe, 1989
5- Sylvie Simon, Vaccination, l'overdose, ed, Déjà, p.31
6- Pr Tissot, La catastrophe des vaccins obligatoires, ed. de l'Ouest, 1950
7- Dr Jean Meric, Vaccinations, je ne serai plus complice, ed. Résurgences, p.55 et suivantes
8- Ibid.
9- Sylvie Simon, op. cit., p.108
10- Pr Michel Georget, Vaccinations, les vérités indésirables, ed. Danglès, p.230
11- Sylvie Simon, op. cit., p.123
12- Dr L. De Brouwer, Vaccination, erreur médicale du siècle, ed. Louise Courteau
13- Le code de déontologie médicale peut être téléchargé à: http://www.web.ordre.medecin.fr/deonto/decret/codedeont.pdf
14- Source : http://sante.site.voila.fr.site.voila.fr/page8.html
15- Si on veut avoir un exemple du dogme vaccinal érigé en langue de bois, voir sur Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vaccination
16- Rapport sur le risque épidémique, Assemblée nationale, 11 mai 2005.
17- Dr Tal Shaller, préface du livre de Jean-Pierre Joseph, opus cit., p.14
LES COMMENTAIRES (2)
posté le 21 décembre à 14:39
Bonjour,
Je suis témoin vivant des abus de la vaccination. En effet j'ai subi sans mon accord à l'age de 3 ans en 1959 la vaccination BCG à PARIS. J'ai été gravement malade pendant plus de 6 mois ganglions purulants etc. Je portais avec moi pendant ma jeunesse un certificat interdisant tout test ou nouveau vaccin. Depuis je sais refuser toute tentative, et quand je lis les témoignages récents concernant la vaccination contre le H1N1, cela me rappelle de biens tristes souvenirs. Les lobbies existent, celui des labos/docteurs/pharmaciens en est un puissant. Nous pourrions parler d'autres lobbies Pétro/auto/ Il est très facile pour les états d'utiliser l'argent de ses citoyens pour en enrichir d'autres. Bien cordialement James
posté le 09 août à 16:17
Bonjour, Le site de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations a changé d'URL ; il se trouve maintenant ici : http://www.infovaccin.fr Il est toujours utile de continuer à s'informer.