Un spécialiste de santé publique et professeur de santé environnementale à l’Université d’Albany de New York a alerté la Commission des réformes de la Chambre des Représentants des Etats-Unis sur le potentiel entre le téléphone portable et les cancers du cerveau, qui pourrait s’apparenter, selon lui à la relation entre le tabac et les cancers du poumon.
Il a mis en garde la Chambre des représentants en disant que l’on ne doit pas rééditer ce que nous avons connu à propos de la cigarette et du cancer du poumon où notre nation a pinaillé sur chaque détail d’information avant d’avertir le public et c’est surtout pour les enfants et les adolescents aux cerveaux plus vulnérables pour lesquels la prudence est mise.
Il y a dans le monde trois milliards d’usagers réguliers de téléphones mobiles ce qui est un motif suffisants, selon divers experts pour émettre à leur intention des messages de précautions, encore faut-il savoir lesquels.