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Que se sois dans mes productions écrites a l’école, en attendant l’autobus, ou sous la table en mathématique. Mon crayon a toujours eu tendance a dériver vers le sordide et le mystère.

Les thèmes imposés en cour de français me fessant horreurs, je me suis toujours efforcé d’ajouter une touche dérangeante a mes textes, parfois au grand dam de mes professeurs et parfois les régalant de surprise. Je me rappelle il y a deux ans une professeure que j’adorai et qui attendait toujours avec impatience mes compositions écrites ( qui n’avaient rien de surprenantes et qui me répugnaient, en grande partie à cause des implants grammaticaux obligatoires implantés et au régime au pain sec et a l‘eau dont elles étaient victimes.) Mais toujours elle les lissaient et m’en parlaient, attisant en moi cette envie de l’étonner encore plus a la prochaine.

Peu être que mon habitude à écrire c’est histoires qui dérangent (comme j’aime les appeler) est en partie une façon de me rebeller contre les règles, les thèmes, les situations initiales et autres contraintes qui me sont impitoyablement imposées tel un horrible moule qui se refermerai sur mon pauvre texte avant même qu’il ne sois née.

Peu importe! Maintenant lisez…