Robert Brasillach, Les sept couleurs
« Le jeune fasciste, appuyé
sur sa race et sur sa nation, fier de son corps vigoureux, de son
esprit lucide, méprisant les biens épais de ce monde,
le jeune fasciste dans son camp, au milieu des camarades de la paix
qui peuvent être les camarades de la guerre, le jeune fasciste
qui chante, qui marche, qui travaille, qui rêve, il est avant
tout un être joyeux. »