Gérard Brazon, fidèle lecteur de ce blog est gravement mis en cause par Christophe Grébert sur son site momodem.com monputeaux.com. Ancien conseiller municipal, Gérard Brazon, récemment élu président de la commission "Transports, circulation et sécurité" du Conseil Economique et Social de Puteaux, est accusé de xénophobie et d'islamophobie par l'élu rallié MoDem de Puteaux.
Des accusations particulièrement graves qui conduisent Gérard Brazon à demander à leur auteur un droit de réponse.
Ces accusations ne sont qu'une illustration supplémentaire de la mauvaise foi de Christophe Grébert. Tout occupé qu'il est à sa campagne pour les élections internes au MoDem, en mal de sujet local, celui-ci a recours à une bonne vieille recette : tapper sur le "système ceccaldi". Et comme il ne trouve rien de concret à reprocher ces jours-ci à Madame le maire, il cherche à l'atteindre à travers une attaque contre Gérard Brazon, mais surtout contre une institution qui vient seulement de se mettre en place et qui n'a pas encore eu le temps de commencer à travailler.
Il sera toujours temps de critiquer l'action du Conseil Economique et Social après quelques mois d'exercice, au vu du travail produit. D'ici là, la démocratie impose de respecter l'institution et ses membres.
Mon épouse est musulmane et beaucoup de mes amis sont musulmans. Je suis certainement mieux à même d'apprécier ce qui relève de l'islamophobie que Christophe Grébert. Gérard Brazon est certes parfois un peu abrupt dans ses propos et je ne partage pas toujours ses opinions. Mais c'est un homme ouvert au débat, respectueux de la liberté d'expression. Son blog, comme le mien, est ouvert aux commentaires de tous et à toutes les opinons. Rien dans les propos cités par Christophe Grébert ne peut être taxé de racisme, de xénophobie ou d'islamophobie.
Malgré cela, Christophe Grébert annonce qu'il demandera à Madame le maire la démission de Gérard Brazon lors du prochain conseil municipal. Une position que je condamne avec la plus grande vigueur. J'appelle tous les citoyens démocrates, qu'ils soient d'accord ou non avec Gérard Brazon, à dénoncer cette manipulation grossière et à exiger de Christophe Grébert qu'il accorde un droit de réponse légitime à Gérard Brazon. Nul doute que lors du prochain Conseil municipal, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, qui dans un geste d'apaisement a retiré sa plainte contre Christophe Grébert qui l'avait traitée "d'élue racaille", refusera de demander à Gérard Brazon de démissionner et saura rappeler à l'élu MoDem qu'il n'est lui-même pas exemplaire.