Le gouvernement, privé de ses maigres marges de manoeuvre financières par la crise et une croissance prévue entre 1 et 1,5% en 2009, a finalement renoncé à réduire les prélèvements obligatoires et les déficits l’an prochain, comme il l’avait pourtant promis.Côté fiscal, son projet de budget 2009 présenté vendredi ne comporte en revanche aucune réelle surprise. Hormis quelques mesures de “fiscalité écologique”, il se contente de plafonner les niches fiscales qui ne l’étaient pas jusqu’alors (investissements dans les DOM-TOM, loi Malraux, loueurs de meublés).
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