A Daphné et à Joy
Daphné, j'ouvre cette parenthèse pour Toi. Je te la dois. Idem pour Toi, Joy : « Quand, tes grands yeux sages se posaient sur moi, je ne savais leur résister. Je caressais ton pelage doux, comme la peau lisse d'une vestale. Au jour de ton vrai départ, il m'a semblé que sur moi tombait un crépuscule éternel ; tant fut grand mon chagrin, qu'il s'en est creusée une ride aux coins de mes yeux : ces yeux dont toi seule savais quand ils riaient ou pleuraient. Pas à pas, nous allions, à travers bois, dans les saisons : (...)