Je me vois plonger dans une faille spatio-temporelle pour voler au secours du monde de Kay’l que je ne connais pas. Je prends à peine conscience de cette autre dimension, choqué par l’incarnation inopinée de ce nouveau corps, que l’expérience tourne court, ou presque. Une forme monstrueuse débarque et attrape mon visage pixellisé, nouvel antre de mon âme, pour le vider de son contenu.
Mais « Ralph Baer » merci [dieu du JV, à l’origine de toute création] je suis sauvé par la patrouille impromptue d’un mécagarde – également communiste je présume – qui chasse le malfaisant.
Je m’en vais donc gaiement, bien décidé à consulter un psy-tech car décidément ça va pas très bien dans ma tête à ce moment là.
La ville
s’offre alors à moi , effrayante mais fascinante… j’ai envie d’y rester, de la
découvrir, d’y vivre, ne serait-ce que le temps d’une partie. Chaque pas
vers elle résonne en moi, me terrifie, me galvanise. Se rappelle alors à moi la
consigne de Kay’l : « passe d’abord à mon appartement ».
A suivre...
Prochainement sur le PBG...