Depuis des années, la qualité réelle de l'eau que nous buvons fait régulièrement l'objet de polémiques, parfois inquiétantes. Aujourd'hui, c'est la quantité que nous devons consommer qui est en cause.
À défaut de voir ce sujet enfin abordé avec tout le sérieux et le désintéressement nécessaires par les spécialistes, nous allons proposer ici une étude dont l'objet est de répondre le mieux possible à ces deux questions :
1. Qu'est-ce que l'eau “biologique” ?
2. Comment nous en procurer ?
Questions qui nous ont semblé d'autant plus fondamentales que l'eau constitue l'essentiel de notre masse corporelle (environ les 2/3), ce qui laisse à penser qu'elle joue un rôle fondamental dans notre état de santé.
Parmi les nombreuses études qui viennent conforter cette opinion, on peut citer :
- celles qui concernent l'eau consommée par les Hunzas : une peuplade vivant dans une vallée isolée proche de l'Himalaya, dont les membres vivent très vieux et semblent ignorer ce qu'est la maladie.
- les travaux effectués par un scientifique de renom : le Professeur Louis-Claude Vincent, qui a mis en évidence des corrélations très nettes entre l'état de santé des habitants de differents villages et les caractéristiques bio-électroniques de l'eau qu'ils consommaient.
Dans ce qui suit, nous allons :
- étudier les qualités auxquelles doit satisfaire une eau “biologique”,
- examiner le problème de la quantité qu'il est souhaitable de consommer,
- proposer une solution qui réponde à cette maxime : “entre plusieurs maux il faut choisir le moindre”.
LES QUALITÉS D'UNE EAU BIOLOGIQUE
À notre sens, une eau biologique doit répondre à deux critères :
1 – Ne pas contenir de substances susceptibles de nuire à la santé.
2 – Être biologiquement assimilable.
Le problème posé par la présence de substances “indésirables”
Ce qui ne laisse pas d'être surprenant et inquiétant ce sont les contradictions et le manque de transparence qui concernent ce sujet, d'autant que toutes les “Affaires” de ces dernières décennies ne permettent plus d'accréditer aveuglément les vérités officielles.
Que contient réellement l'eau du robinet dite “potable” ?
Nous allons reprendre ici “in extenso”, ce qui est rapporté dans une étude publiée en mai 2007 par un chercheur (Dominique Guillet) :
Concernant les pesticides
“Selon les enquêtes publiées par l'IFEN en 2005 : 96% “seulement” de nos cours d'eau et 61% “seulement” de nos nappes phréatiques sont polluées par “seulement” 230 pesticides ! La molécule la plus présente étant l'atrazine qui génère cancers, maladies cardio-vasculaires, dégénérescences musculaires, lésions des poumons et des reins, pour le peu que nous sachions actuellement, etc.”
Deux choses sont à remarquer :
- d'abord ces informations datent de l'année 2005. Comme il faut un certain temps pour que les substances déposées à la surface du sol atteignent les nappes phréatiques, la situation ne peut évidemment aller qu'en s'aggravant
- ensuite il faudrait savoir combien de molécules ont fait l'objet de ce type de recherches. Selon toute vraisemblance, celles-ci ont dû porter en priorité sur les molécules que l'on avait le plus de chance de rencontrer. Comme on en a utilisé des milliers (pour le moins) et que l'élaboration des moyens permettant de les identifier demande des travaux considérables, on peut affirmer que le nombre des produits qui polluent les nappes phréatiques est aujourd'hui véritablement colossal et ne peut varier que de manière croissante.
Si nous décidions aujourd’hui de supprimer tout rejet de toxique dans la nature, il faudrait 25 ans à la Terre pour se débarrasser des plus anodins !
Concernant les médicaments
Continuons l'analyse du document précédent :
“Aux USA et au Canada, des études sérieuses ont mis en évidence la présence, dans les eaux, de très nombreuses substances : estrone, ethinylestradiol (venant des pilules contraceptives), des anti-inflammatoires, des remèdes contre le cancer, des tranquillisants, etc. Aux USA, chaque année un million de personne sont traitées par chimiothérapie. Ces patients génèrent approximativement, chaque année, 650.000 tonnes d'excréments qui sont évacués dans les égouts. Des chercheurs se sont aperçus que toutes les substances utilisées en chimiothérapie sortaient intactes des systèmes de retraitement d'eau. Toutes ces substances sont mutagènes, carcinogènes, tératogènes et embryotoxiques.*
Au Canada, en 1998, deux chercheurs, White et Rasmussen, ont calculé que la génotoxicité présente dans l'unité de retraitement des eaux usées de Montréal d'une part et dans le St Laurent d'autre part étaient seulement imputables à l'industrie à hauteur respectivement de 15% et de 10%. Tout le reste avait une origine “mystérieuse”, selon leurs commentaires.
En 2005, en Suisse, une thèse de doctorat a porté sur la contamination de l'environnement par les substances pharmaceutiques (recherche de Tauxe Würsch Annick ; Tarradellas Joseph).
Dans la première partie de cette recherche, la présence et le devenir de cinq médicaments très utilisés (Acide Clofibrique, Ibuprofène, Kétoprofène, Acide Méfénamique et Diclofénac) ont été analysés dans trois stations d'épuration durant quatre à sept jours consécutifs. L'Ibuprofène le Kétoprofène, et le Diclofénac sont des anti-inflammatoires (NSAIDs). L'Ibuprofène et l'Acide Méfénamique sont les médicaments les plus vendus de cette étude : 17 tonnes par an et par substance en Suisse. L'Acide Profibrique est un métabolite du Clofibrate, de l'étofibrate et du clofibrate d'étofylline. Ces substances hypolipémiantes sont utilisées pour abaisser les concentrations plasmatiques élevées de cholestérol et de triglycérides. La méthode analytique développée pour analyser ces cinq médicaments permet de récupérer généralement plus de 70% de ces composés.
Les limites de détection (5-15 ng/l) permettent la détection de ces substances dans les échantillons d'eaux usées.
Les résultats de l'analyse des échantillons montrent que ces cinq substances étaient persistantes et se retrouvaient dans les effluents des stations d'épuration.”
Deux choses ressortent très nettement de cette étude :
- d'abord, la complexité des travaux à effectuer pour définir les techniques adaptées à la détection de ce type de substance,
- ensuite, que ces recherches étaient limitées à seulement cinq produits. Vu la quantité de molécules mises en circulation par les industries pharmaceutiques, il apparaît plus que vraisemblable que les stations dites “d'épuration” laissent passer quantité de substances dont il est impossible de soupçonner la presence.**
Que faut-il penser des eaux dites de “source”
Ces eaux sont toujours proposées en bouteille (sauf lorsqu'elles sont consommées à la source) et ont bien meilleure réputation que l'eau du robinet. La question qui se pose ici est donc de savoir si cette réputation repose bien sur des bases solides et n'est pas finalement un leurre.
Concernant l'eau elle-même
La grande différence avec l'eau du robinet, c'est que ces eaux ne passent pas par des stations d'épuration. Mais est-ce une garantie pour autant ?
Ce qui incite à les suspecter, c'est le fait qu'elles proviennent elles aussi de nappes souterraines. En effet, quand on constate que le taux de nitrates de certaines eaux de source augmente progressivement ; on peut en déduire sans craindre de se tromper que les pesticides associés généralement aux engrais ont toutes les chances d'avoir suivi le même chemin que les nitrates !
En outre, même si elles sont généralement situées dans des zones isolées, les nappes qui alimentent les sources utilisées ne sont pas forcément à l'abri des déjections animales, notamment lorsqu'il existe des élevages industriels à proximité. Dans ce cas, on ne voit pas pourquoi les nombreux médicaments utilisés pour “soigner” les animaux ne suivraient pas le même chemin que les pesticides.… (voir l’exemple de la Bretagne)… Finalement, nous sommes en droit de penser que la qualité des eaux embouteillées présente de sérieuses analogies avec celle de l'eau du robinet.
Par ailleurs, il existe un autre facteur de pollution qu'il est impossible de négliger : la présence possible de substances provenant de la dégradation des matériaux utilisés pour fabriquer les bouteilles !
Concernant les composants utilisés pour fabriquer les bouteilles
La plupart des bouteilles utilisées étant réalisées à partir de matières plastiques, il va de soi qu'il convient de s'intéresser aux propriétés de ces matériaux.
Dans le but de fournir un minimum d'information sur ce sujet, nous allons reprendre ici “in extenso”, ce qui est rapporté dans la revue “Quelle Santé” de juin 2008 :
“Il a fallu que le Canada tire la sonnette d'alarme sur l'utilisation du bisphénol A et qu'il envisage de le classer dans la catégorie des produits toxiques et dangereux pour que l'Europe se décide à sortir de son immobilisme.
Le Vieux Continent va donc reconsidérer les normes appliquées à l'utilisation du bisphénol, un composé chimique qui entre dans la fabrication des biberons, des résines de revêtement pour les boîtes de conserves alimentaires, des composites utilisés en dentisterie...
Mais le bisphénol n'est pas seul en cause. Les autres plastiques sont aussi pointés du doigt par la communauté scientifique.....
Aujourd'hui, cinq polymères représentent à eux seuls 90% du marché des plastiques d'emballage à usage alimentaire : le polyéthylène (PE), le polypropylène (PP), le polyéthylène téréphtalate (PET), le polychlorure de vinyle (PVC) et le polystirène (PS).... Ce n'est pas tout : afin d'améliorer les performances de leurs produits, les fabricants n'hésitent pas à incorporer des substances douteuses au cœur des matières plastiques. Mais il est quasiment impossible d'en dresser une liste exhaustive tant elle est longue. On parle de plusieurs milliers de dopants. L'opération peut aller de l'adjonction de sels de cadmium ou de plomb pour durcir le PVC, à l'ajout de sels d'antimoine comme retardateur de flammes dans le PET, en passant par l'introduction d'hydrocarbures pour assouplir notamment le polystirène... Actuellement, les scientifiques s'accordent pour dire que, de tous les plastiques, ceux qui contaminent le plus nos aliments sont le PVC, le polystirène et les polycarbonates qui relarguent du bisphénol A et du PET qui émet à son tour du trioxyde d'antimoine. Or le PET et le trioxyde d'antimoine se retrouvent dans les eaux conditionnées en bouteille. Plus inquiétant, la teneur initiale en antimoine est multipliée par 190 après six mois de stockage... Pourtant, il est reconnu comme polluant majeur, aussi bien en Europe qu'aux Etats-Unis. Ainsi, pour certains chercheurs, ce serait un toxique puissant pour tout le système nerveux. D'autres l'accusent d'empoisonner le système sanguin tandis que, de son côté, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) le classe dans les cancérogènes possibles, suite notamment aux travaux du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC).” Il faut souligner ici une singularité : en Allemagne, on utilise encore des bouteilles en verre qui sont consignées, comme naguère chez nous. Il serait fort intéressant de connaître les raisons profondes qui ont pu inciter les responsables à conserver ce type d'emballage, alors qu'il est certainement moins rentable que le plastique. La possibilité que certains aient eu des doutes quant à l'innocuité de ce type de produit est à priori difficile à exclure. Les contrôles “officiels” Les documents établis par la DDASS fournissent la liste des contrôles “officiels”. Ils se résument comme suit : Bactériologie : La qualité bactériologique est évaluée par la recherche de micro-organismes indicateurs d'une éventuelle contamination par bactérie. [ On ne parle pas des virus.... ce qui expliquerait peut-être les gastros...] Nitrates : Éléments provenant principalement de l'agriculture, des rejets domestiques et industriels. La teneur ne doit pas excéder 50 mg/l. Dureté : Teneur en calcium et en magnésium exprimée en degré français (°F). Il n'y a pas de valeur limite réglementaire. [ À quoi peut donc servir ce contrôle ? Mystère...] Pesticides, insecticides, fongicides et autres “icides” : Substances chimiques utilisées pour “protéger” les cultures ou pour désherber. La teneur ne doit pas excéder 0,1µg/l. [ Lorsque le document officiel annonce qu'aucune trace de pesticides n'a été détectée dans l'eau distribuée, on aimerait bien savoir lesquels ont été recherchés ! Étant donné qu'il en existe des centaines ou plutôt des milliers, que l'on est incapable d'identifier, sauf à effectuer des recherches très spécifiques dont le résultat n'est pas garanti, une évidence s'impose : le problème est escamoté !] Fluor : Oligo-élément présent naturellement dans l'eau. La teneur moyenne ne doit pas excéder 1,5mg/l. [ Que doit-on penser de certaines études qui classent le fluor parmi les éléments toxiques ? ] Autres paramètres : On nous dit simplement que l'ensemble des autres paramètres mesurés est conforme. [ Le seul vrai problème, c'est qu'on oublie de préciser desquels il s'agit...] À noter que rien n'est dit concernant la présence de métaux lourds, dont la toxicité est pourtant bien connue. Rien non plus concernant l'aluminium, alors que celui-ci est mis en cause dans la maladie d'Alzheimer par certains scientifiques. Lorsqu'on examine attentivement les documents établis par la DDASS concernant les contrôles à effectuer et que l'on les compare avec le résultat des enquêtes publiées par l'IFEN en 2005 - dont nous avons fait état précédemment - nous avons la preuve formelle et irréfutablee qu'on ignore presque tout de ce que contient réellement l'eau “potable” que nous buvons ! Quant aux eaux embouteillées, nous nous trouvons exactement dans le même contexte, avec un facteur aggravant venant du fait que l'eau est injectée dans les bouteilles alors que le polyéthylène est encore très chaud, donc susceptible de relarguer certains composants avec encore plus de poids qu’on pourrait l’imaginer… ***
Le problème posé par l'aspect biologique Il faut rappeler ici une expérience qui peut sembler “bizarre” à juste titre mais qui prouve qu'une eau peut être pure et pourtant non assimilable !
Cette expérience est issue des travaux de Marcel Violet et racontée dans son livre « Le Secret des Patriarches ». Je cite : « À l’époque où je recherchais, pour mes travaux, une eau chimiquement pure, j’ai fabriqué plusieurs litres d’eau synthétique en condensant dans un serpentin refroidi les gaz de combustion d’une flamme d’hydrogène. Ayant mis dans un cristallisoir environ un litre de cette eau, j’y déposais un têtard de grenouille tout frétillant. L’animal s’immobilisa presque instantanément membres tendus : il était mort. Je fis barboter de l’air dans cette eau pour l’aérer, puis j’y mis un second tetrad : le résultat fut le même. J’enfermais alors cette eau synthétique aérée dans un ballon de verre, le scellai au chalumeau, puis déposai le ballon sur mon balcon. C’était l’été. Un mois après, je repris le ballon, brisai la pointe et le vidai dans un cristallisoir. Dans cette eau, je mis à nouveau des têtards. Ceux-ci, loin de s’immobiliser comme leurs frères un mois auparavant, frétillèrent et prospérèrent ».
Une telle expérience permet de conclure que, pour être biologiquement assimilable, l'eau ne doit pas seulement répondre exclusivement à des critères de pureté mais aussi à un certain état « énergétique particulier ». Ce qui explique notamment pourquoi les eaux dites thermales sont beaucoup plus actives lorsqu'elles sont consommées à la source qu'après un séjour, même bref, dans des bouteilles. On peut citer ici différents travaux qui vont dans ce sens : - ceux du Pr J.P. Benvéniste sur la « mémoire de l'eau » qui ont, en leur temps, déclenché d'intenses polémiques, d'autant qu'ils apportaient un début d'explication à l'homéopathie… - ceux de Massaru Emoto qui mettent en évidence, photographies à l'appui, des différences de structure en relation avec le « vécu » de l'eau. Ce qui est particulièrement intéressant, c'est que l'on peut expliquer ces phénomènes en faisant intervenir certaines données de la physique quantique. Dans le cas présent, il suffit simplement d'admettre que c'est le spectre d'ondes associé à la forme spatiale des molécules qui leur confère leurs propriétés et non leur formule chimique. Pour avoir une preuve, il suffit de modifier cette forme et de vérifier que les propriétés changent, ce qui est le cas. LA QUANTITÉ JOURNALIÈRE À CONSOMMER Parmi toutes les contradictions relevées concernant l'eau, l'une des plus « curieuses » concerne la consommation quotidienne. En effet, on nous a râbaché durant de nombreuses années qu'il fallait boire au moins un litre et demi d'eau par jour pour être bien hydraté. Aujourd'hui, une étude récente faite aux États-Unis vient jeter un pavé dans cette mare (d'eau). Il semblerait que cette allégation ne soit qu'une émanation de spéculations théoriques sans fondement objectif. Cette pratique est même soupçonnée d'être plutôt préjudiciable, notamment pour les reins. L'augmentation importante du nombre de postes de dialyse dans certains hopitaux ne peut que contribuer à s'interroger sur les causes de ce type de pathologie. En juillet 2008, le nombre de dialisés complets (3 séances par semaine) en France s'élève à 40.000 ! Il est intéressant de relier ces informations à deux faits paradoxaux, qui rendent perplexes certains médecins. Ainsi , il n'est pas rare de rencontrer : - des personnes maladives qui sont dans un état de déshydratation chronique qu'elles ignorent, alors qu'elles boivent conformément au dogme, quand elles n'en rajoutent pas ! - des individus qui boivent peu et qui sont parfaitement hydratés. Si l'on peut admettre que les premières sont des malades dont on ne parvient pas à identifier la pathologie, cela est déjà un peu tiré par les cheveux, mais pour les seconds, il n'y a qu'une explication possible : ce sont des anormaux ! Vu les risques que fait courir cette pratique, il est évident qu'il y a lieu d'exiger une enquête pour en identifier les promoteurs et les condamner à de lourdes peines s'il est avéré qu'ils ont été complices d'une opération à visées mercantiles. Il n'est pas inutile de rappeler ici une pratique analogue, qui consistait à rajouter systématiquement du sel dans les produits agro-alimentaires à des fins faciles à deviner ! Le problème, c'est que les lanceurs d'alerte sont souvent l'objet de la vindicte des lobbies mis en cause, avec les conséquences que l'on sait. Les mesures de rétorsion prises contre la personne qui dénonça l'affaire du sel constituent un bon exemple de ce qui attend ceux qui osent s'opposer à leurs intérêts ! Et l’on comprend que cela ait un effet dissuasif ! QUELLE SOLUTION ADOPTER ? La ligne de conduite que nous préconisons fait appel au simple bon sens et peut se résumer comme suit :
ENTRE DEUX MAUX, IL FAUT CHOISIR LE MOINDRE
Nous ne nous intéresserons ici qu'à l'eau de boisson. Pour éliminer au mieux les pollutions potentielles que nous avons examinées, trois solutions sont possibles :
1 – Filtrer l'eau du robinet. 2 – Filtrer les eaux vendues en bouteilles. 3 – Utiliser de l'eau de pluie et la filtrer. Le renforcement des contrôles Il faut insister ici sur le fait que les contrôles officiels sont largement déficients. Sachant qu'il existe des moyens sophistiqués – genre spectromètres – qui permettent d'identifier la présence de substances très diverses, on comprend mal pourquoi ces moyens ne sont pas utilisés systématiquement dans un domaine aussi important. À l'évidence, il serait plus judicieux, au lieu d'effectuer de multiples contrôles répétitifs pour mesurer quelques éléments d'intérêt parfois discutable, d'élargir considérablement le champ des investigations. Quand on sait, par exemple, que les poissons changent de sexe dans certaines rivières suite, vraisemblablement, à la présence d'hormones indésirables et que, de plus, celles-ci ne sont pas éliminées par les stations d'épuration, il apparaît plus que souhaitable de savoir de manière un peu plus exhaustive ce qui se cache dans nos eaux de boisson. À noter également que l'on ne dispose pas de moyens de contrôle pour vérifier la qualité purement biologique de l'eau. L'expérience de Marcel Violet est pourtant là pour rappeler qu'il ne s'agit pas d'une caractéristique secondaire. Le filtrage de l'eau du robinet Deux types de dispositif de filtration existent : les premiers utilisent simplement la gravité ; les seconds (considérés généralement comme les meilleurs) : l'osmose inverse. La filtration par gravité Deux inconvénients sont à signaler : d'abord, la présence d'un filtre à charbon actif qu'il faut remplacer très fréquemment ; ensuite, des performances très discutables. Par contre, certains dispositifs disent redonner à l'eau ses qualités biologiques et ce critère fait l'objet d'une concurrence sauvage. Entre les eaux biodynamisées, énergétisées et informées, il y a de quoi y perdre les restes du latin (que l'on a d’ailleurs oublié) ! Il faut noter qu'il existe dans ce domaine une telle quantité de publicités, parfois quelque peu délirantes, qu'il est très difficile de se faire une opinion basée sur des faits avérés. L'aspect mercantile étant toujours omniprésent. Les appareils à osmose inverse Nous n'aborderons pas ici l'aspect technique du procédé qui serait inutile. L'essentiel est de savoir que ces appareils ont besoin d'une certaine pression pour fonctionner du fait que la filtration s'effectue à travers une membrane très fine. En ce qui concerne les avantages, il faut noter que la membrane : - dure beaucoup plus longtemps que le filtre à charbon actif, - permet d'éliminer à priori beaucoup plus de substances indésirables que le filtre à charbon actif. Quant aux inconvénients, on peut dire que : - le principe de l'osmose inverse entraîne un rejet d'eau polluée (+ ou – important selon les fabriquants) - les appareils et le remplacement de la membrane reviennent plus ou moins chers (selon les fabriquants) Le filtrage des eaux vendues en bouteille Le problème posé est paradoxalement plus compliqué que celui de l'eau du robinet. En effet, dans ce dernier, nous disposons d'une pression qui permet d'utiliser le phénomène de l'osmose inverse. Dans le cas présent, cela est impossible puisqu'il n'y a pas de pression. En définitive, si l'on veut filtrer, on est obligé d'utiliser des moyens de filtrage par gravité, ce qui offre très peu d'intérêt. L'utilisation de l'eau de pluie Beaucoup de personnes trouveront sans aucun doute une telle proposition pour le moins incongrue. On a tellement focalisé sur la pollution de l'atmosphère qu'on a tendance à oublier qu'elle retombe quand il pleut, pour finalement se retrouver dans les cours d'eau et les nappes phréatiques. Au bout de quelques minutes, il est évident que l'atmosphère est beaucoup plus propre puisqu'elle a été lavée (selon l'expression consacrée) ! En conclusion de quoi nous avons estimé que l'utilisation de l'eau de pluie constituait une piste à explorer. Les arguments qui militent en sa faveur sont les suivants : Sur le plan des substances indésirables Il est évident que la plupart des résidus, identifiés ou non, susceptibles de polluer les nappes souterraines, ont moins de chance d'être présents dans l'eau de pluie. Sur le plan biologique L'observation des animaux sauvages donne des indications intéressantes. En effet, ceux-ci n'ont pas toujours des sources et des cours d'eau à leur disposition ; beaucoup consomment donc de l'eau de pluie. Par ailleurs, personne ne peut ignorer que les moineaux adorent se baigner dans les flaques d'eau lorsque l'occasion se présente et qu'ils la goûtent avant. Autre constat intéressant: si on laisse le choix aux animaux de basse-cours entre de l'eau du robinet bien propre et de l'eau de pluie, ils se précipitent sur l'eau de pluie. Enfin, dans certaines zones désertiques, les habitants tendent des filets où l'humidité de l'atmosphère vient se condenser et consomment cette eau sans problème. Il n'est donc pas hors de propos de penser que l'eau de pluie possède des “vertus” cachées ! Sur le plan pratique Les essais que nous avons effectués ont montré que l'utilisation de l'eau de pluie ne présentait pas de difficulté particulière. Les différentes étapes de cette opération ont consisté à : 1 - Récupérer l'eau de pluie dans un récipient approprié. 2 - Procéder à un filtrage sommaire pour la débarasser des débris les plus importants. Dans le cas présent, nous avons utilisé une passoire dans laquelle on a mis deux torchons. 3 – Récupérer et stocker l'eau dans des bonbonnes en verre (cantines) dans l'attente du filtrage définitif. 4 - Procéder à un filtrage très soigné de manière à éliminer toutes les substances indésirables. Dans le cas présent, nous avons utilisé un filtre commercialisé par la Société Nikken. Nous n'insisterons pas plus sur les avantages que présente cette solution qui permet, si l'on procède avec tout le soin nécessaire, de s'affranchir de nombreuses pollutions. Deux améliorations peuvent être suggérées : - mettre de l'argile dans le récipient destiné à récupérer l'eau, - rejeter les premiers litres (quantité à définir selon les cas ), de manière à laisser un temps suffisant pour que l'atmosphère et le circuit de récupération se nettoient. CONCLUSION Quand on voit que les poissons sauvages (mers, oceans et rivières) changent de sexe ou de morphologie, suite à la présence dans l'eau de certaines hormones (et autres molecules rejetées in fine) que les stations d'épuration ne sont pas capables d'éliminer, nous sommes en droit de penser qu'il en est de même pour toutes les autres substances chimiques dont les effets à court, moyen et long terme sont absolument dramatiques. Si l'on en croît la mythologie grecque, les hommes étaient, au début de la création, des êtres androgynes. Ils étaient tellement heureux que les dieux en furent jaloux et décidèrent de les différencier en deux sexes pour les rendre dépendants de leurs émotions. On peut donc espérer que, grâce à la présence de certaines hormones dans l'eau que nous buvons, nous allons enfin retrouver le bonheur d'être hermaphrodites ! À moins que nous ne soyons déjà devenus une espèce complètement dégénérée donc envoie d’extinction ?
* En France : soit les recherches ne sont volontairement pas effectuées, soit les résultats sont tenus secrets tant ils sont allarmants avec interdiction aux chercheurs de dire la vérité.
** On peut parfaitement extrapoler à TOUTES les substances médicopharmaceutiques “sur ordonnance et remboursées par la SÉCU”: antibiotiques, anti dépresseurs, anti inflammatoires, anti cancéreux… Vaccinations, hormones, somnifères, dopants, antalgiques, À TOUS les produits alimentaires (colorants artificiels, exhausteurs de goûts (glutamate), aux conservateurs, aux édulcorants de synthèse (aspartame & cie), etc… À TOUS les produits phytosanitaires, à TOUS les produits utilisés pour l’agriculture intensive “subventionnée avec nos impôts, à TOUS les produits utilisés par l’industrie et le bâtiment (colles, enduits, peintures, etc.)… à TOUS les produits chimiques en général et à TOUTES les drogues illégales (ecxtasie, marijuana, cocaïne, etc… TOUT ce que l’homme, l’animal et la plante ingurgite de gré ou de force au cours de sa vie… et qui s’accumule non seulement dans son organisme au fil des ans mais par voie de conséquence dans l’eau, l’air, les sols…
Non seulement nous absorbons dans l’eau du robinet en permanence et à notre insu des substances hautement toxiques et en faisons boire à nos enfants, mais nous ignorons totalement l’interaction de toutes ces substances entre elles et le niveau d’accumulation dans chaque organisme, sachant que le corps STOCKE tout ce qu’il ne sait pas gérer, étant dans l’incapacité d’éliminer ce qu’il ne “reconnaît pas” à savoir : TOUS les produits de synthèse.
À VOS OSMOSEURS ! (seul procédé fiable et efficace pour obtenir de l’eau buvable). Pour ceux qui le souhaitent, je tiens à votre disposition une adresse d’osmoseur à prix raisonnable et testé par nos soins depuis 2 ans.
EN MATIÈRE D’EAU, D’AIR ET D’ALIMENTS, LE NIVEAU “ZÉRO %” DE POLLUANTS EST LE SEUL ACCEPTABLE ! IL FAUT REFUSER ÉNERGIQUEMENT LES “%” DE “POLLUANTS AUTORISÉS” ! QUI SONT UNE IMPOSTURE SCIENTIFIQUE CECI EST INADMISSIBLE ! Il faut adapter notre manière de vivre à la Nature et non obliger la Nature et nos organismes à s’adapter à nos folies, car l’adaptation a des limites que nous avons déjà allègrement franchies !
UN PRODUIT TOXIQUE NE DEVRAIT JAMAIS VOIR LE JOUR ET ÊTRE REFUSÉ PAR LES CONSOMMATEURS PUISQUE L’ÉTAT N’EST PLUS LE GARANT DE NOTRE SÉCURITÉ ET QU’IL NE FAIT QUE RELEVER LE NIVEAU DU “TAUX ADMISSIBLES” DE TOXIQUES DANS CHAQUE DOMAINE, IGNORANT SUPERBEMENT QUE, COMME LE DIT J. BOUSQUET : “PERSONNE NE PEUT DIRE À LA CELLULE DE REMETTRE SON COMPTEUR À ZÉRO CHAQUE ANNÉE LE 31 DCEMBRE!!! IL Y A DONC ACCUMULATION PERMANENTE DE POISONS DANS NOTRE ORGANISME (AVEC LA BÉNÉDICTION DES POUVOIRS PUBLICS)” !
*** L’eau embouteillée (idem pour les fruits secs, épices, viandes en barquettes etc.) suit par ailleurs un circuit systématique “d’ionisation” (= irradion au cobalt), pour éviter la proliferation de microbes et bactéries lors du stockage (parfois dans des conditions et températures totalement inappropriées ; elles contiennent donc une certaine “dose admissible” de radioactivité… qui bien entendu ne s’accumule pas dans l’organisme, lequel est entièrement régénéré chaque année au 1er janvier comme l’on sait !
Toutes les vérités n’étant pas bonnes à dire, l’auteur de l’article souhaite garder l’anonymat… On pourrait ainsi le définir : “quelqu’un qui vous veut du bien” !