Le Gouvernement cherche-t-il à mettre en oeuvre une communication reposant sur l'idée que le nuage de la tempête financière pourrait passer hors de France ? La manoeuvre s'annonce difficile.
L'interdépendance des marchés financiers est telle que la France sera impactée sévèrement de façon incontournable.
Il suffit de prendre un dossier comme Natixis pour constater les dégâts des derniers mois déjà.
Les questions posées par Deminor en juillet 2008 sont d'ailleurs toujours restées sans réponse sérieuse à ce jour.
Le seul constat, c'est que des particuliers sont entrés dans le capital de Natixis à 19, 50 € et que le cours est en-dessous de 3 € ce jour ...
Tous les particuliers détenteurs d'actions voient cette réalité. Le reste n'est qu'un discours politique.
Il sera d'ailleurs intéressant de suivre les sanctions qui seront engagées contre les dirigeants de Natixis si sanctions il y a ...