Les 7 Douleurs de Marie : la mort de Jésus

Publié le 26 septembre 2008 par Hermas
Mathieu 27 49.  Mais les autres lui dirent : « Laisse ! que nous voyions si Élie va venir le sauver ! » 50.  Or Jésus, poussant de nouveau un grand cri, rendit l'esprit. 51.  Et voilà que le voile du Sanctuaire se déchira en deux, du haut en bas ; la terre trembla, les rochers se fendirent, 52.  les tombeaux s'ouvrirent et de nombreux corps de saints trépassés ressuscitèrent : 53.  ils sortirent des tombeaux après sa résurrection, entrèrent dans la Ville sainte et se firent voir à bien des gens. 54.  Quant au centurion et aux hommes qui avec lui gardaient Jésus, à la vue du séisme et de ce qui se passait, ils furent saisis d'une grande frayeur et dirent : « Vraiment celui-ci était fils de Dieu ! » Marc 15 33.  Quand il fut la sixième heure, l'obscurité se fit sur la terre entière jusqu'à la neuvième heure. 34.  Et à la neuvième heure Jésus clama en un grand cri : « Élôï, Élôï, lema sabachthani », ce qui se traduit : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » 35.  Certains des assistants disaient en l'entendant : « Voilà qu'il appelle Élie ! » 36.  Quelqu'un courut tremper une éponge dans du vinaigre et, l'ayant mise au bout d'un roseau, il lui donnait à boire en disant : « Laissez ! que nous voyions si Élie va venir le descendre ! » 37.  Or Jésus, jetant un grand cri, expira. 38.  Et le voile du Sanctuaire se déchira en deux, du haut en bas. 39.  Voyant qu'il avait ainsi expiré, le centurion, qui se tenait en face de lui, s'écria : « Vraiment cet homme était fils de Dieu ! » Christ Velasquez Luc 23 44.  C'était déjà environ la sixième heure quand, le soleil s'éclipsant, l'obscurité se fit sur la terre entière, jusqu'à la neuvième heure. 45.  Le voile du Sanctuaire se déchira par le milieu, 46.  et, jetant un grand cri, Jésus dit : « Père, en tes mains je remets mon esprit. » Ayant dit cela, il expira. 47.  Voyant ce qui était arrivé, le centenier glorifiait Dieu, en disant : « Sûrement, cet homme était un juste ! » Jean 19 28.  Après quoi, sachant que désormais tout était achevé pour que l'Écriture fût parfaitement accomplie, Jésus dit : « J'ai soif. » 29.  Un vase était là, rempli de vinaigre. On mit autour d'une branche d'hysope une éponge imbibée de vinaigre et on l'approcha de sa bouche. 30.  Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « C'est achevé » et, inclinant la tête, il remit l'esprit. Ô ma Mère, Mère si affligée, vous n’abandonnez pas Jésus. Vous ne pensez pas à votre propre peine, vous ne pensez qu’aux souffrances et à la mort de votre Fils si cher. Ce qui augmente votre douleur c’est d’entendre Jésus se plaindre que son Père bien-aimé l’a abandonné. Vous supportez une telle douleur en silence et sans proférer une plainte. Mais votre cœur parle. Vous continuez d’offrir à Dieu la vie de votre Fils pour notre salut. Puissions-nous trouver consolation, quand l’amertume submerge notre cœur, dans la pensée que Jésus, par sa mort, nous a ouvert le paradis. Ô Marie, crucifiée dans votre âme avec votre Fils crucifié sur la croix, remplissez mon cœur de reconnaissance pour votre sacrifice.