Loin des régnes de toute infamie
Dans laquelle demeure l’agonie
Epuisé chaque jour, chaque instant
Le secret des profondeurs de ton cœur.
Cueillant la fleur blancheur éternelle
Souffle léger de l’espace du temps
De son nom une justice sans peur,
L’absolue Vérité qui excelle.
Loin de ces commerces douteux
J’enflamme un être figé
D’une lueur d’automne des cieux
Aimant entendre un sourire
Rassemblant les belles étoiles
Jadis Paradis des oubliés
Prisonniers perdus des soupirs
Esquisse suspendue des toiles.
Loin des rêves froids et obscurs
La douceur devient ombre de soie
Colorant d’un ocre les paroies
Révèlant une autre parure.
Parchemin coloré de nos vies
Parchemin gardien de nos écrits
Aurore
Poème dédié à Stellamaris