Trop tentant, je relève cette saillie mordante de François Bayrou à propos de Nicolas Sarkozy...
« Si le bohneur des peuples se mesurait à la somme des promesses qu'on leur fait, qu'est-ce que les peuples seraient heureux!»
Parce que bon, la réalité, la voilà, telle qu'il l'expose :
« faute de marge de manoeuvre, toutes ces promesses déboucheront sur des désillusions. [...]Le discours qu'on appelle volontariste se heurtera naturellement aux réalités.[...] La vérité que tout le monde découvrira, c'est que depuis 18 mois, au lieu de constituer des marges de manoeuvre, on a laissé filer le déficit qui est aujourd'hui supérieur de 25% à ce qui avait été prévu.»