Oui, je ne suis pas mort monsieur cowblog.
Hey t'as oublié ton blog ou quoi ?
MoPiou !
Voici près de 30 jours que tu n'as pas ajouté d'articles sur ton blog...! Il commence à s'ennuyer sans toi... et surtout, il a peur de passer à la trappe, car si tu attends trop longtemps (90 jours sans poster d'article), il sera supprimé !
Si tu as perdu tes identifiants, pas de problème, clique sur le lien ci-dessous pour faire une procédure de rappel : http://www.cowblog.fr/logon.html
A bientôt sur www.cowblog.fr !!
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Pourquoi les gens préfèrent parler dans le dos sur les autres ?
Pourquoi leur donner de l'importance ? Cela leur crée un sujet de conversation, ils n'en n'ont pas par eux-même, ont peur de parler d'eux ?
Who knows ? Expliquez moi. Vous qui parlez tant sans dire les choses en face. Prenez votre courage, exprimez vous. Le monde avancera mieux. Manque de confiance en soi, d'imagination, soyez plus créatifs au lieu d'abaisser d'autres personnes. anti social proof. Youpi. Ca vous avance à ... ?
Pathétique :) un peu à l'image de personne qui paient ou mentent pour attirer du monde sur leur site. pétasse total décolorée, mais bien sûr ?
Est-ce vrai ? Est-ce utile ? Est-ce juste ?
Les mots.
Couchés sur du papier ou sur nos lèvres, ils ne sont trop souvent que mensonges. Quand on les écrit ou qu'on les prononce on ne se rend pas toujours compte de leur force, de leur emprise sur l'autre. Les mots sont cruels. On ne les oublie pas. Ils résonnent en nous. Les yeux clos, les mains sur les oreilles, ils sont toujours là. Les blessures qu'ils provoquent ne se soignent pas avec un peu de pommade et un pansement.
Les mots m'ont plus souvent blessé que réconforté, mais par eux à travers l'écriture j'ai trouvé un moyen d'exprimer mes pensées, mes douleurs et mes blessures même les plus enfouies. L'écriture est pour moi un exutoire nécessaire, elle me retient de sombrer à nouveau dans cet abîme si familier.
Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue
Si cette pratique était mise en place par tout le monde, les rumeurs n'hesiteraient plus!!!
Mais bon on peut toujours rêver!
Les trois tamis
Un jour, quelqu'un vint voir Socrate et lui dit :
- Écoute, Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s'est conduit.
- Arrête ! interrompit l'homme sage. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les trois tamis ?
- Trois tamis ? dit l'autre, rempli d'étonnement.
- Oui, mon bon ami : trois tamis. Examinons si ce que tu as à me dire peut passer par les trois tamis. Le premier est celui de la vérité. As-tu contrôlé si tout ce que tu veux me raconter est vrai ?
- Non, je l'ai entendu raconter et...
- Bien, bien. Mais assurément tu l'as fait passer à travers le deuxième tamis. C'est celui de la bonté. Ce que tu veux me raconter, si ce n'est pas tout à fait vrai, est-ce au moins quelque chose de bon ?
Hésitant, l'autre répondit : Non, ce n'est pas quelque chose de bon, au contraire...
- Hum ! dit le Sage, essayons de nous servir du troisième tamis, et voyons s'il est utile de me raconter ce que tu as envie de me dire...
- Utile ? Pas précisément.. .
- Eh bien ! dit Socrate en souriant,
si ce que tu as à me dire n'est ni vrai, ni bon, ni utile, je préfère ne pas le savoir, et quant à toi, je te conseille de l'oublier...
Apologue grec
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 21 janvier à 08:47
Tout ce qui suit m'appartient merci de le retirer de ton blog !
http://parole-empoisonnee.skyrock.com/7.html
Les mots. Couchés sur du papier ou sur nos lèvres, ils ne sont trop souvent que mensonges. Quand on les écrit ou qu'on les prononce on ne se rend pas toujours compte de leur force, de leur emprise sur l'autre. Les mots sont cruels. On ne les oublie pas. Ils résonnent en nous. Les yeux clos, les mains sur les oreilles, ils sont toujours là. Les blessures qu'ils provoquent ne se soignent pas avec un peu de pommade et un pansement.
Les mots m'ont plus souvent blessé que réconforté, mais par eux à travers l'écriture j'ai trouvé un moyen d'exprimer mes pensées, mes douleurs et mes blessures même les plus enfouies. L'écriture est pour moi un exutoire nécessaire, elle me retient de sombrer à nouveau dans cet abîme si familier.