Depuis plusieurs mois, on observe que l’ensemble des pouvoirs publics se soumettent progressivement à la charia :
- - La Justice : où un procès à Rennes a été reporté à cause du ramadan, l’avocat de l’accusé invoquant les capacités réduites de son client en raison de son jeûne.
- - Santé : où des pères refusent que des médecins hommes interviennent pour l’accouchement de leurs femmes.
- - L’alimentation : où dans nombre de cantines d’écoles les responsables se sentent
obligés de répondre à la spécificité alimentaire de la religion musulmane.
- Le financement des mosquées : où des terrains sont attribués par les mairies à des prix bien inférieurs à ceux du marché et où même certaines municipalités participent au financement de la construction
- Le port du voile : où une femme propriétaire d’un gite a été condamné car elle a refusé que des femmes musulmanes portent le voile.
- Ministère de l’Intérieur : celui-ci distribue, en arabe, des documents relatifs à l’organisation du pèlerinage de la Mecque.
- La municipalité de Paris, qui organise chaque année, aux frais du contribuable parisien, un concert au Palais Omnisport de Paris-Bercy pour fêter la fin du ramadan. On l’imagine faire la même chose à Pâques pour fêter la fin du carême…
Ces faits, qui ne sont que le début d’une longue liste, montrent que la laïcité recule chaque jour davantage et que l’Etat se plie à l’immigration musulmane. Certaines voix préfèrent évoquer la bêtise de certaines individualités en indiquant « qu’il y a ces cas dans toutes les religions ». Ce qui est faux, puisque dans tous les cas de problèmes liés à la laïcité, force est de constater que c’est de façon répétée la religion musulmane et ses spécificités qui sont en cause. On assiste donc à une véritable faiblesse du gouvernement et même de lâcheté, M.Sarkozy prônant la laïcité(programme sur lequel il s’est fait élire) en étant incapable de la faire respecter.
Dans une République laïque (ce qui est le cas de la France), le rôle de l’Etat serait d’ignorer ces spécificités et de répondre par la négative aux demandes de ceux qui se réclament de la religion musulmane.