Devant quitter la Toile quelques jours à partir de demain, je vous prie de bien vouloir excuser par avance mon silence momentané, lequel devrait se prolonger jusqu’en milieu de semaine prochaine.
Je vous souhaite donc, avec un peu d’avance, une très bonne fin de semaine et plein de bonnes choses pour la suite. Les blogueurs amis, fidèles au poste, ne manqueront pas de vous informer et de vous titiller les neurones comme il faut, et votre serviteur reviendra avec beaucoup de bonnes idées et de nouveaux écrits passionnants (du moins l’espère-t-il).
Avant de partir, je ne résiste pas au plaisir de soumettre à votre méditation une citation extraite du testament politique de Frédéric-Guillaume 1er de Prusse, à destination de son fils, le futur Frédéric le Grand.
À déguster lentement :
« Je vous prie, pour l’amour de Dieu, de maintenir l’armée en l’état, de la renforcer, d’en faire un instrument formidable et de ne jamais la diviser. Vous verrez que vous serez alors recherché par toutes les puissances, et vous serez ainsi en mesure de tenir entre vos mains l’équilibre de l’Europe.»