L'Américain s'est engagé, hier, avec Astana. La formation kazakhe,
impliquée dans des affaires de dopage, n'avait pu participer au Tour de France
l'an passé. Qu'en sera-t-il en 2009 ? Lance Armstrong sait ménager ses
effets. Hier, à New York, alors qu'il devait parler essentiellement de sa lutte
contre le cancer, l'Américain a tout simplement annoncé le nom de son futur
employeur : Astana. Un choix qui n'a pas fini d'être
commenté. La raison : le septuple vainqueur de la Grande Boucle,
dont l'objectif est d'ajouter un huitième maillot jaune à son palmarès, a signé
dans une équipe que les dirigeants du Tour de France avaient refusé d'inviter
l'an passé.
Plusieurs affaires de dopage ont terni l'image d'Astana, formation très
controversée.