Le Président de la République confirme une vision de la société stigmatisante pour les malades et moins solidaire.
En justifiant la mise en place des franchises médicales, il dit clairement : le système solidaire ne peut pas tout prendre en charge, les malades devront se payer une partie de leurs soins.
Après avoir sommé honteusement les organismes complémentaires de participer au redressement des comptes de l'assurance maladie à hauteur d'un milliard d'euros, il les (...)
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Nicolas Sarkozy