La Russie apporte la preuve
de sa protection - 25.9.8
Une réunion prévue depuis deux semaines entre les diplomates des P5+1 pour évoquer le nucléaire iranien a été annulée suite au désistement à la dernière minute du chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov. Ce dernier s’était d’abord fait excuser par un collègue qui avait évoqué son emploi du temps très chargé. Mais dès le lendemain, Moscou se ravisait pour dire officiellement son hostilité à tout projet de nouvelle résolution à l’encontre de l’Iran.
« Pour le moment, les perspectives de poursuite du travail diplomatique sont réelles, ce que confirme même l’AIEA qui a le dernier mot dans les questions nucléaires. Selon nous, il n’y a pas le feu et en tout cas aucun motif de tout laisser tomber et de se précipiter pour discuter du dossier nucléaire iranien en marge de la session de l’Assemblée générale, dont l’ordre du jour est déjà suffisamment chargé », a expliqué Andreï Nesterenko le porte-parole de la diplomatie russe !
Lavrov qui se décommande et la réunion tombe à l’eau : voilà une démonstration de force qui donne à réfléchir aux mollahs sur les capacités de protection diplomatique que Moscou promet à Téhéran s’il reste son allié.
Parallèlement, cet acte a un lien avec les efforts irano-américains pour aboutir à une entente stratégique qui priverait Moscou de son allié iranien et de son rôle d’intermédiaire pour l’accès au gaz de l’Asie Centrale. Moscou espère semer la zizanie entre Téhéran et Washington en poussant l’administration Bush à réagir par un acte fort pour plaire à son opinion publique, chauffée à blanc par Ahmadinejad et la campagne présidentielle américaine
http://www.iran-resist.org/article4811
Iran : Les Six dans l'Impasse - 20.9.8
Suite au refus de Téhéran d’accepter les propositions de l’AIEA, les représentants
des Six devaient se réunir ce vendredi à
Washington. La rencontre a été à la hauteur
des attentes de Téhéran, mais aussi de Washington.
Quelques heures avant la tenue de cette rencontre, les responsables du régime évoquaient dans les médias iraniens l’échec de la rencontre en se disant confiants en raison de l’existence d’un large front anti-sanctions composé de la Chine, la Russie, mais aussi l’Allemagne et Solana qui est le négociateur attitré des Six. Ces dirigeants ont précisé qu’ils accordaient leur soutien aux efforts de Solana et aussi ils ont salué l’Allemagne qui a été sensible aux démarches commerciales des ambassadeurs du régime.
Cette information a été confirmée quelques heures plus tard par la dépêche de l’AFP qui a évoqué une attitude « réservée » de l’Allemagne qui aurait proposé un débat sur « l’opportunité ou non de prendre de nouvelles mesures » , ce qui revient à une demande implicite de poursuite des négociations sans fin avec Téhéran.
Téhéran crie victoire, mais en fait le grand gagnant de cette division au sein du camp occidental est Washington. Cette division et l’opposition constante de la Chine et de la Russie jouent en faveur de la stratégie américaine.
La stratégie américaine | En restant dans le cadre d’une action onusienne, l’administration Bush rassure ses alliés européens comme ses adversaires sino-russes sur le fait qu’elle ne compte pas mener une politique unilatérale comme dans le cas de l’Irak. Cet engagement onusien légitime en fait les sanctions bancaires que l’administration Bush applique contre les partenaires commerciaux non-américains de Téhéran, sanctions qui privent Téhéran des investissements vitaux et peuvent le contraindre à composer avec Bush en acceptant son offre d’entente unilatérale. De plus, en agissant en communauté avec les Six, Washington surveille ses concurrents et se tient au courant de leurs initiatives.
L’approche via les Six est en fait une variante de la stratégie américaine de containment (endiguement) des autres acteurs de la crise, et plus la procédure s’enlise et mieux se porte Washington. En témoigne l’attitude soi-disant résignée de la secrétaire d’Etat américaine, Condoleezza Rice et de son porte-parole Sean McCormack à propos des retards prévisibles du processus de négociation entre les Six pour aboutir à une nouvelle résolution.
Toujours selon l’AFP, dans la matinée et avant cette
rencontre, le Département d’Etat avait convié dans ses locaux les directeurs politiques de la Grande-Bretagne, de la France et de l’Allemagne, mais pas ceux de la Chine et de la Russie. De quoi
provoquer des tensions propres à braquer les deux convives oubliés et provoquer des retards. On se souvient qu’il y a tout juste un an, en septembre 2007, Washington provoquait ainsi de nouveaux retards dans le processus onusien tout en renforçant ses propres sanctions
http://www.iran-resist.org/article4798
Attaquer l'Iran équivaut
à attaquer la Russie.
Kouchner s'aligne sur Poutine.
Une alliance stratégique
vitale pour Moscou
19.9.8
C’est de la Russie que
s’est levée la plus grande protestation à l’encontre des propos inconsidérés de Bernard Kouchner. La Russie envoie des armes aux talibans via les mollahs et un bombardement de l’Iran sera une coupure dans ce flux de soutien indispensable pour la poursuite des hostilités en
Afghanistan, ce pays où les troupes Françaises ont été augmentées sur ordre de Nicolas Sarkozy. L’Afghanistan aurait dû être libéré pour accueillir un pipeline libérant tous les
clients du Gaz Russe et du monopole de la Russie
nationaliste
La diplomatie est une affaire de géopolitique et non de coup de gueule et de
communication. Comme nous l’avons exposé à maintes reprises, le régime des mollahs est devenu un allié indispensable pour la Russie nationaliste qui a besoin de ce pays placé au carrefour de
l’Asie Centrale et du Moyen-Orient et du régime qui le gouverne qui a construit un des plus redoutables réseaux terroristes de tous les temps.
L’Asie Centrale est une région confinée, ses Etats n’ont que 4 alternatives pour exporter leur pétrole ou leur gaz. La mer Caspienne, l’Afghanistan, l’Iran et la Russie. Les mollahs et la Russie s’opposent à un gazoduc subaquatique « pour des raisons écologiques ». L’Afghanistan est en guerre et l’Iran en crise. Au bout de 6 ans d’isolement, les Etats d’Asie Centrale ont signé un mega-contrat les liant durablement à la Russie pour le transport de leur gaz. Cette réussite a été possible grâce à l’alliance Iran-Russie pour maintenir l’Afghanistan en guerre. Attaquer l’Iran équivaut à attaquer la Russie.
Hormis l’Asie Centrale, la Russie est aussi l’allié de l’Axe Iran-Syrie, pont aérien d’approvisionnement en armes du Hezbollah. Encore un point, la crise nucléaire iranienne fait grimper le prix du baril et la Russie, 2nd exportateur mondial du pétrole, a réussi grâce à cette crise à gagner des montagnes de dollars lui permettant de rembourser toutes ses dettes et même d’envisager de prêter de l’argent à ses ex-créanciers Européens. Ses gains pétroliers lui ont même permis d’effacer les dettes de ses clients, les encourageant à acheter de nouveaux équipements militaires. Ceci lui a permis de devenir le plus important exportateur d’armes au monde. Le régime des mollahs est l’allié stratégique de la Russie. Attaquer l’Iran équivaut à attaquer la Russie.
La Russie a réagi plus passionnément que le régime des mollahs : elle a non seulement critiqué l’idée d’un recours à la force, mais aussi l’idée de sanctions unilatérales évoquées par le duo Kouchner-Sarkozy.
Le ministre russe a mis en garde contre les « conséquences possibles » d’une telle opération dans la région. Quelles sont ces conséquences ? Le commentaire le plus précis est venu de Mikhaïl Marguelov, le président du Comité des affaires internationales du Sénat Russe, qui a estimé qu’« une guerre contre l’Iran pourrait avoir des conséquences difficilement prévisibles, bouclerait l’anneau Afghanistan-Iran-Irak et ne manquerait pas d’affecter les Territoires Palestiniens, Israël et la Syrie… ».
Moscou a rappelé la nécessité de continuer le dialogue et Paris s’est aligné sans état d’âme. Après une explication plutôt bancale, Kouchner a déclaré : « C’est une manipulation. Je ne veux pas la guerre, je veux la paix »…. « Tout doit être fait pour éviter la guerre, il faut négocier, négocier, négocier, sans relâche, sans crainte de rebuffade ».
De nombreux commentateurs arabes des pays alliés de la France comme le Qatar avaient condamné ses propos en s’imaginant que Kouchner pensait ce qu’il disait ou s’exprimait courageusement selon l’avis de Rama Yade. Le ministre français a malheureusement repris sa parole donnant raison aux mollahs qui avaient moqué son inexpérience.
Et en plus, grâce à cette diplomatie Française trop pressée de marquer des points,
tous les partisans du « dialogue avec les mollahs » ont repris du poil de la bête
http://www.iran-resist.org/article3804
________________________________________________________________________________________
24.9.8 Dans une très longue interview accordée à Los Angeles Times (ci-dessous), Ahmadinejad insiste sur la poursuite des activités nucléaires et des
initiatives anti-israélienne. Il y affirme également que « la République Islamique d’Iran espère établir des relations amicales avec les Etats-Unis »
http://www.iran-resist.org/article4808
Le dernier rapport de
l’AIEA n’est pas tendre avec les mollahs : il évoque l’existence d’un volet militaire sur la foi de documents révélés en février dernier par les Britanniques. De nouveaux
documents allant dans ce sens sont apparus. Le représentant américain à l’AIEA les juge fiables, alors que la CIA a toujours rejeté leur fiabilité.
http://www.iran-resist.org/article4804
Lors d’un Congrès sur la sécurité nationale américaine qui s’est tenu à Los Angeles, le directeur de la CIA, le général Michael Hayden a encore précisé que,
selon ses services, le programme nucléaire iranien n’avait plus aucun volet militaire depuis 2003, propos en contradiction avec le dernier rapport d’El Baradai. La CIA avait tenu le même genre de
propos après le précédent rapport de l’AIEA
http://www.iran-resist.org/article4796
18.9.8 : 5 anciens secrétaires d'Etat
en renforts pour Bush :
Ouvrir le dialogue avec l'Iran
Quelques heures après la publication, lundi, d’un rapport de l’AIEA appelant
Téhéran à la transparence sur le dossier du nucléaire, cinq anciens secrétaires d’État américains ont appelé la prochaine administration à « ouvrir le dialogue avec l’Iran plutôt que d’envisager des
options militaires insatisfaisantes ».
Les médias parlent d’un
consensus inédit entre des personnalités politiques issues de formations rivales et de gouvernements concurrents. Ceci est faux : Warren Christopher, Colin Powell, Madeleine Albright, James
Baker et Henry Kissinger sont tous membres du Council on Foreing
Relations, organisme qui définit les
orientations de la politique extérieure des Etats-Unis. (..)
http://www.iran-resist.org/article4792
Iran nucléaire : Offensives business en France et en Allemagne
http://www.iran-resist.org/article4785
Etat des lieux de la crise nucléaire iranienne 17.9.8
http://www.iran-resist.org/article3797
Intérêts européens en Iran
http://www.iran-resist.org/mot50
Axe Téhéréan-Moscou-Pékin
http://www.iran-resist.org/mot180
La Russie marchande 19.9.8.
En juillet 2008, Rosoboronexport, l’organisme russe de production et d’exportation d’armes, avait annoncé
qu’il refusait catégoriquement de livrer à l’Iran les batteries de missiles anti-missiles S-300, bien que cette vente ne soit prohibée par conventions internationales. Il vient d’annoncer que la
livraison pourrait avoir lieu. | Décodages |
En juillet dernier, Moscou avait réagi négativement à un discours d’Ahmadinejad dans lequel le président du régime des mollahs affirmait que Téhéran voulait une entente avec Washington. Une telle entente sera une menace pour la Russie qui perdra l’exclusivité d’accès à l’Asie Centrale et sa mainmise sur le gaz de cette région, gaz qui assure une grande partie des revenus de Gazprom. Moscou a donc réagi en affirmant qu’il avait le droit de livrer ses armes mais qu’il refusait de le faire. A l’époque, Rosoboronexport avait également précisé qu’il ne pouvait fournir aucun calendrier pour une future livraison, ajoutant que « cela dépendrait de ce qui adviendrait prochainement », sous-entendu un abandon par l’Iran du projet d’entente avec Washington.
Or, les mollahs estiment pour plusieurs raisons politiques et historiques qu’ils doivent conclure cette entente avec l’administration sortante Bush et non avec son successeur. De son côté Bush espère conclure son mandat sur cette entente valorisante qui satisfera les donateurs pétroliers du parti républicain. Du fait du peu de temps qu’il lui reste, il a mis les bouchées doubles pour trouver un terrain d’entente avec les mollahs. Les deux parties font des progrès dans le sens d’une entente et la dernière évolution de leur progrès a été une demande de Téhéran pour une invitation officielle par un intermédiaire « neutre » (Irak), invitation qui fut suivie d’une réponse irakienne très amicale. Les choses ont donc évolué et Moscou s’est adapté à cette évolution défavorable.
(..) Alors que l’Occident cherche à étouffer l’économie iranienne en refusant d’y investir ses dollars, la Russie a confirmé sa volonté de combler ce
vide par des investissements dans le domaine énergétique. Elle a aussi promis de
finir la Centrale de Bouchehr et à présent, elle nous donne encore raison, en évoquant la livraison de ce système de DCA (S-300).
http://www.iran-resist.org/article4794
Selon Kissinger,
il faut négocier avec l'Iran
(..)
Cependant, cet assouplissement de Moscou est conditionnel : Téhéran doit renoncer à son entente avec
Washington. C’est ce qui explique les mots employés par Anatoli Issaïkine, le PDG de Rosoboronexport :
« Les contacts entre nos deux pays se poursuivent… » (.)
D’une manière générale, le Council poursuit depuis le début des années 70, un double projet d’islamisation politique et de balkanisation de la région allant du Pakistan à la Turquie en passant par l’Iran et l’Irak. L’objectif était d’éliminer les Etats forts, et de les remplacer par des petites républiques ethniques ou religieuses avec cette conviction que la religion et le racisme ethnique sont deux facteurs de division durable qui empêcheront l’émergence d’un Moyen-Orient solidaire et unis pour défendre ses intérêts.(..)
En d’autres termes selon Kissinger, l’Amérique doit dépasser le stade des rencontres informelles et privées pour aller vers des négociations officielles pour permettre une entente officielle. Cela suppose aussi des concessions officielles.
Tout dépend si ces concessions seront bilatérales ou plutôt unilatérales (levée des sanctions et abandon des conditions préalables), auquel cas Kissinger se serait adressé non pas aux mollahs récalcitrants, mais à l’équipe Bush qui semble incapable par ses sanctions d’attirer les mollahs à la table de ces négociations qui sont vitales pour l’avenir des intérêts stratégiques des Etats-Unis
http://www.iran-resist.org/article4315
Pourquoi Kouchner veut un dialogue avec l'Iran ?
le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, en déplacement à Jérusalem s’est déclaré dimanche en faveur de
« l’ouverture d’un dialogue » avec l’Iran « qui
est un grand pays et un pays de grande culture » pour convaincre ce pays de stopper son programme d’enrichissement d’uranium, tout en préconisant des sanctions, le cas échéant
(..)
http://www.iran-resist.org/article4235 (18.2.8)
Scénario pour un retour des Américains en Iran, 18.7.8
http://www.iran-resist.org/article4635
Reçu ce mail : "Bien que véridique, de sacrées accusations en pleine face et avec une assurance plutôt inquiétante tant pour les américano-sionistes que pour le peuple mondial. Il a peut être
déjà la bombe H !
http://www.alterinfo.net/Le-Discours-d-Ahmadinejad-a-l-Assemblee-generale-de-l-ONU_a24188.html?PHPSESSID=fd64da474613ac4d59fbc227e17b00ba "
K. (..)
Iran. A quoi sert un Irak
pro-américain ? - 12.9.8
Lors d’une rencontre avec Bush à la Maison-Blanche, le président irakien Jalal Talabani
a souligné une « amélioration des relations de l’Irak avec tous ses voisins, y compris la Syrie et l’Iran », sans à aucun moment évoquer l’existence d’un quelconque lien entre les
mollahs et les terroristes qui ensanglantent son pays. C’est une très bonne nouvelle pour les mollahs ! (..)
http://www.iran-resist.org/article4774
Téhéran fait un pas important vers les USA
http://www.iran-resist.org/article4744
La Spécificité française :
Selon notre analyse, la France comme la Russie a une ligne plutôt stable. La seule différence avec ces années
passées est le style Sarkozy. Le nouveau président de la république a tendance à vouloir tirer profit des situations existantes en prétendant être à l’origine des évènements. On l’a vu dans le
cadre du règlement de l’affaire des infirmières Bulgares.
Ainsi le président a laissé entendre qu’il n’y aurait plus de nouveaux investissements en Iran notamment dans le domaine pétrolier avec Total. Or, les investissements pétroliers étrangers en Iran sont arrêtés depuis longtemps en raison de la situation économique et Total n’est pas la seule grande compagnie à se montrer réticente ; les Chinois et les Japonais boudent également le marché iranien. Cette annonce d’interdiction de nouveaux investissements n’est pas réellement une sanction décidée par Sarkozy. Mais en adoptant ces attitudes très voyantes, la France veut rester très en vue dans le règlement de la crise comme au bon vieux temps de Jacques Chirac.
L’autre point de stabilité de la diplomatie Française est la volonté de Paris de continuer comme sous Chirac à jouer un grand rôle international : les 3 centres d’intérêt de la France sont le Liban, le règlement du conflit Israélo-Palestinien et l’Irak. C’est bien là le problème.
Dans les deux premiers cas, la France ne dénonce pas les ingérences des mollahs par l’intermédiaire du Hezbollah et du Hamas et ne parle que de possibilités de dialogue avec ces deux représentants du régime des mollahs, l’un au nord d’Israël et l’autre au sud. Et dans le cas Irakien, la France fait semblant de ne pas voir le rôle d’instigateur et d’arbitre du chaos joué les mollahs en Irak.
On ne peut à la fois afficher de la fermeté vis-à-vis des mollahs tout en faisant les yeux doux au Hezbollah,
aux Chiites Irakiens ou au Hamas. La France a changé de discours mais dans les faits, elle continue à occuper le devant de la scène
(comme sous Chirac) sans rien apporter comme solution pour diminuer l’agitation régnante dans cette
crise.
Etat des lieux | La crise iranienne est revenue en arrière en partie en raison des intérêts économiques occidentaux en jeu et la volonté pour de nombreux
Etats comme la Russie, la Chine et la France de jouer à l’arbitre de cette crise. (..)
Bizarrement, ce retour en arrière et cette volonté d’aller plus loin pour épuiser les adversaires peuvent être
porteur de grands bouleversements.
http://www.iran-resist.org/article3797
Un point de vue d'Israël
:
Voir les articles en Français :
La course iranienne pour une hégémonie régionale
Les enjeux diplomatiques
face à la menace iranienne
Conférence internationale sur les menaces de l'Iran A l'initiative de l'Université de Yale pour l'étude interdisciplinaire de l'antisémitisme, de la Conférence des Présidents des principales Organisations juives américaines, et du Centre des Affaires publiques et de l'État à Jérusalem, une conférence-débat intitulée: SANCTIONNER UN ÉTAT POUR AVOIR INCITÉ AU GÉNOCIDE: QUE PEUT-ON FAIRE ? QUELLES SERONT LES MESURES EFFICACES A PRENDRE? Cette conférence internationale a eu lieu ce mardi, le 23 septembre 2008 à Washington. Voir l'article >> http://www.jcpa-lecape.org/ |