Quarante jours avant les élections au Sénat et à la Chambre des représentants, le chèque de 700 milliards de dollars demandé par l’administration Bush pour renflouer Wall Street provoque des inquiétudes chez les parlementaires de tous bords.De la gauche démocrate aux républicains les plus conservateurs, au Sénat comme à la Chambre des représentants, “personne n’est heureux” d’avoir à voter le texte présenté par le secrétaire au Trésor Henry Paulson, assurait mardi le leader de la majorité démocrate à la Chambre, Steny Hoyer, lors d’un point de presse.
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