Après quelques semaines assez trépidantes, 72 heures particulièrement éprouvantes, un blog presque entièrement tourné vers le congrès, les derniers échanges de mails, le téléphone moins rougeoyant, il est temps de revenir aux fondamentaux…
Une chose parait certaine, et bien qu’ayant initié la présence de blogueurs au Congrès (ça
commençait à se formaliser… ), de toute évidence, cela se passera sans moi. Mais de temps en temps; j'en causerai malgré tout.
Plus l’envie, une certaine exaspération de ce climat faussement serein, certains échanges que j’ai eu suite à ma décision d’hier me confirment qu’au-delà des mots, les comportements sont
identiques à de ceux d’hier… surtout confortons nous dans l’immobilisme et les discours suffiront à convaincre les électeurs… enfin théoriquement... c'est quand les Européennes
?
Alors et pour un certain nombre de mes lecteurs, ce sera un soulagement, moins de Parti Socialiste, retour à plus de fond (enfin j’espère), à un antisarkozisme pavlovien.
Pour votre peine, demain, je vais revenir sur la crise financière des semaines précédentes avec
comme point d’entrée un long article de l’économiste Jacques Sapir (13 pages touffues, riches, techniques mais au combien intéressante).
Il y aussi une étude de l’observatoire des inégalités qui m’a interpellé dont on a peu parlé.
Alors pour aujourd’hui, repos du clavier, retour à ma petite famille mais rassurez vous, je n’abandonne pas tout… aujourd’hui, on dépose les listes pour les élections paritaires… et j’en serai… le fond c’est aussi le quotidien.