A 3h05, en n'écoutant que d'une oreille distraite le discours de George Bush aux Nations Unies qui avait l'air de rabâcher toujours les mêmes incantations, j'ai donc penser à autre chose...
A 3h05 et quelques secondes, je me suis dit que son discours devait être écrit très gros, puisqu'il tournait les pages après chaque phrase.
A 3h09, je me suis dit, en imaginant toute l'agitation d'une équipe pour préparer un tel discours, que ce genre de pouvoir était le délire d'un enfant-roi.