"Le Conseil français du culte musulman inscrit de manière définitive le fait religieux au cœur de la liberté religieuse de notre pays, c'est aujourd'hui plus que jamais une institution qui compte (...)
Que la France ait ses propres imams et cadres religieux demeure une priorité (...)
Le mois de Ramadan, temps de recueillement, temps de compassion, porte l'image d'un islam de paix, de tolérance, de solidarité, ces valeurs qui sont aussi au cœur du consensus républicain qui fait vivre la nation française, ces valeurs sont celles de l'Islam de France (...)
Ma conviction c'est que les valeurs de la République sont pleinement compatibles avec les pratiques de la religion musulmane
(Elle a également affirmé son) "soutien et sa détermination à agir" (sur des sujets comme) "l'organisation du pèlerinage à la Mecque, de l'Aïd-el-Kébir, le contrôle religieux de la filière Halal, la formation de ministres de culte musulman aux valeurs de la République, le développement des aumôneries pénitentiaires et hospitalières, l'implantation de carrés musulmans dans les cimetières".
Comme le souligne l'Observatoire de l'Islamisation, Michèle Alliot-Marie fera-t-elle, à la fin du Carême, le chemin de croix avant d'assister à la messe du vendredi Saint ?