Les lecteurs attentifs de ce blog auront remarqué mon apparition subite sur Ombres Vertes il y a quelques mois, sous le pseudo de Continuum. Les lecteurs attentifs auront également remarqué que jusqu'à présent, mon existence de blogueur ne s'était pas développée au-delà de cet espace partagé avec mon cher hôte et ami, j'ai nommé François. Considérons maintenant cela comme du passé, puisque la toile s'est enrichie il y a quelques jours d'une nouvelle adresse où je me suis aménagé un nouveau logis. Bien sûr, je ne pars pas tout à fait et je continuerai d'intervenir sur Ombres Vertes, mais peut-être plus rarement, suivant les occasions.
J'invite donc les marathoniens qui parviennent à lire mes billets jusqu'au bout, et les insomniaques qui trouvent un bon remède dans ma lecture, à venir me rejoindre dans Le Beau Vingt-et-Unième !
J'y parlerai de musique bien sûr, et d'autres choses propres à développer l'esprit et l'âme, mais surtout pas de moi (ou très peu). Aussi j'essaierai modestement de participer le moins possible à ce mouvement général de paresse intellectuelle, ce brouhaha moyen-âgeux qui caractérise la blogosphère tant par les propos tenus que par leur énonciation.
Je n'aurai peut-être pas beaucoup de lecteurs, mais avoir deux lecteurs ou cent m'importe peu puisque je n'attend rien de l'internet, et surtout pas la création d'un pseudo lien social. Sauf à croiser des esprits aventureux qui échoueraient chez moi par hasard comme c'est arrivé parfois sur Ombres Vertes - c'est marrant ça.
Voilà, j'ai tissé mon fil.
Je remercie François pour son sens du partage (son idée d'ouvrir son espace personnel à des contributeurs extérieurs), et aussi pour sa tolérance (aucune prise de tête sur le contenu des billets). Ca fait toujours plaisir.