Extrait de la conclusion:
"Il ne fait aucun doute qu'une large partie de l'opinion publique — tant dans les pays de la zone euro que dans les nouveaux Etats Membres — continue d'émettre d'importantes réserves à l'égard de la monnaie unique, mais l'impression qui ressort de l'ensemble des réponses aux différentes questions est que les appréciations négatives cachent très souvent une résistance à l'idée européenne. En d'autres termes, ce n'est pas l'euro en soi qui est en cause, mais plutôt ce qu'il représente aux yeux des citoyens: une construction politique non assimilée, pour ne pas dire rejetée, qui se manifeste à travers une monnaie «imposée» d'en haut" (je souligne).
Le rapport souligne à cet égard la responsabilité des gouvernements dans cet état de fait et plaide pour un réveil de la société civile.