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Birmanie, Revue de presse

Publié le 22 septembre 2008 par Kathy
  • Le commerce frontalier entre la Birmanie et le Bangladesh pourrait atteindre 10 millions de dollars entre 2008 et 2009 (xinhuanet)
RANGOON, 21 septembre (Xinhua) -- Le commerce frontalier entre la Birmanie et le Bangladesh au point commercial de Maungtaw pourrait atteindre 10 millions de dollar pour l'année fiscale actuelle 2008-2009, a rapporté le journal local Flower News, dimanche.
Entre 2007-2008, les transactions ont enregistré plus de huit millions de dollars au point commercial de Maugntaw, situé dans l'Etat de Rakhine ouest, principalement avec des produits de la mer.
Le Maungtaw reste l'un des deux points du commerce frontalier entre la Birmanie et le Bangladesh, alors que l'autre est Sittway.
Les statistiques officielles montrent que la Birmanie exporte annuellement au Bangladesh 23.000 tonnes de produits de la mer, en tant que cinquième plus grand pays importateur des produits de mer du Bangladesh parmi 30 pays.
Selon les statistiques du ministère birman du commerce, le commerce bilatéral entre la Birmanie et le Bangladesh a dépassé 60 millions de dollars par an avec une balance commerciale favorisant la Birmanie.
Les deux pays s'efforcent d' augmenter leur commerce bilatéral jusqu'à 100 millions de dollars, selon les sources.
  • Ce soit sur Tsr ch à 22h30 : Entre junte militaire et catastrophes naturelles: où va la Birmanie?
Lien pour regarder cette émission : GEOPOLITIS
  • Birmanie : Dictature et catastrophes naturelles, ou comment utiliser la nature pour se débarrasser de ses minorités (Blog Parti socialiste d'Arcueil)
Le régime militaire birman, au pouvoir depuis 1962, a fait tristement la une de l'actualité en mai dernier lorsque le cyclone Nargis a frappé son pays. Incapable de faire face à la situation, il en a pas moins refusé d'accueillir sur son sol l'aide humanitaire internationale. Au final, environ 100 000 personnes ont perdu la vie dans cette catastrophe.
Les birmans doivent aujourd'hui faire face à une nouvelle calamité naturelle, moins médiatique mais pas moins cruelle, débouchant sur la famine. Pourtant, il existe une différence de taille avec le cyclone de mai dernier. Si avec Nargis, on peut penser que les militaires birmans sont avant tout responsables de leur refus d'accepter l'aide internationale, aujourd'hui on ne peut pas avoir de doute sur le fait qu'ils aient organisé la crise. (...)
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  • Humanitaire : entre business et propagande. Le cas concret de la Birmanie.(agoravox)
Entre propagande militaire, prosélytisme religieux et recherche de financements, les victimes du Cyclone Nargis en Birmanie représentent un enjeu international pour des organisations souhaitant soigner leur image, mais pas nécessairement les plaies de ces populations.
Une dépêche AFP du 4 septembre 2008 passée inaperçue relayait une déclaration de l’Organisation Mondiale de la Santé, affirmant que « le gouvernement militaire birman avait fourni une réponse rapide aux victimes du Cyclone Nargis en mai dernier, malgré les critiques ».
Rentré le même jour de Birmanie après y avoir distribué de l’aide alimentaire aux populations touchées par la tempête, cette citation venait curieusement infirmer tout ce que j’avais pu observer sur place de visu. Cela ressemblait à s’y méprendre à un reportage de la MRTV ou du New Light of Myanmar, les médias gouvernementaux locaux, et non pas au rapport d’une agence de l’ONU. J’étais abasourdi. Entre expérience personnelle et déclarations officielles, où se trouvait la vérité ? (...)
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