A retenir, la phrase de Lou Warren, qui vient de perdre son poste d’ouvrier fixant des sièges sur des tondeuses à gazon en raison de la délocalisation de son entreprise en Equateur : “Mon grand-père avait un boulot de merde, mon père avait un boulot de merde, je voudrais un président qui garantit que mon fils aura un boulot de merde ».
Une petite réaction de M. Besancenot ?