Le conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) va plancher à Vienne du 22 au 26 septembre sur les très controversés dossiers nucléaires iranien et syrien, alors que les grandes puissances (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine et Allemagne) restent divisées face à Téhéran.Le 15 septembre, dans un rapport, l’agence onusienne avait une nouvelle fois dénoncé le refus de Téhéran de cesser ses activités d’enrichissement de l’uranium, malgré trois séries de sanctions imposées par le Conseil de sécurité des Nations unies. Les experts iraniens font tourner, comme l’a annoncé le 29 août le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Alireza Sheikh Attar et comme le confirme l’AIEA, près de 4.000 centrifugeuses dans le centre atomique de Natanz (centre de l’Iran).
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