C’est lundi et après un week-end où je n’ai rien écrit pour le blog, commençons la semaine avec un sujet qui devient de plus en plus criant pour l’utilisateur d’objets mobiles que je suis (et que vous êtes certainement) : l’autonomie des batteries. En attendant le WREL dont nous avons parlé, des chercheurs de l’Université d’Austin au Texas planchent sur un matériau au capacités intéressantes : le graphène.
Le graphène est constitué d’un feuillet d’atomes de carbone. L’empilement de ces feuillets constitue le graphite. Le graphène est déjà utilisé en complément de batterie classique pour ses capacités de restitution et sa souplesse d’utilisation (températures d’utilisation, durée, …). Mais les actuels travaux de Rod Ruof à Austin, laissent penser que l’on peut attendre bien mieux du graphène. D’après lui, la capacité de stockage des supercondensateurs devraient doubler, permettant d’obtenir un support de stockage efficace, notamment pour les énergies renouvelables comme le solaire et l’éolien. Et si en plus, ça peut nous éviter d’avoir à recharger notre smartphone ou notre Iphone tous les soirs, nous ne nous plaindrons pas.
Source : Futura-Sciences