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Comme il fallait s’y attendre, la N-VA (parti séparatiste flamand en cartel avec le CD&V) a décidé lors de son congrès de ce dimanche de ne plus soutenir le gouvernement fédéral et de ne pas participer à la future négociation institutionnelle. Son président, Bart De Wever, en impute la faute aux partis francophones qui, selon lui, ne sont pas prêts à s’engager dans une réforme profonde de l’Etat.
Sans compter la crise de régime qu’elle induit au niveau national, la N-VA sème la zizanie en Flandre où elle fait partie du gouvernement régional qui sans elle n’a plus de majorité.
A lire dans Le Soir et dans La Libre Belgique
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