Après s'être défoulés sur le film du snob écrivain BHL il y a quelques années (je ne l'ai pas vu, le bénéfice du doute...), on savait bien que les critiques ayant pignon sur rue n'allaient pas se priver donner une petite leçon d'humilité à l'arrogant Michel Houellebecq dont le personnage médiatique dérange, agace, provoque, dont les livres ont l'impudence de se vendre aussi bien que des best-sellers pavés de plage, ce qui est assez insupportable quand on pose que le génie n'aurait, dans le meilleur des cas, de succès que posthume. L'écrivain a prêté le flanc à cette volée de bois vert en adaptant lui-même son livre "La Possibilité d'une île" dont il avait déjà en tête le projet cinéma lors de sa sortie puisqu'il a changé d'éditeur pour financer le film, etc... Aurait-il dû le faire sous un pseudonyme, comme l'a tenté Lelouch dans un premier temps avec "Roman...
Après s'être défoulés sur le film du snob écrivain BHL il y a quelques années (je ne l'ai pas vu, le bénéfice du doute...), on savait bien que les critiques ayant pignon sur rue n'allaient pas se priver donner une petite leçon d'humilité à l'arrogant Michel Houellebecq dont le personnage médiatique dérange, agace, provoque, dont les livres ont l'impudence de se vendre aussi bien que des best-sellers pavés de plage, ce qui est assez insupportable quand on pose que le génie n'aurait, dans le meilleur des cas, de succès que posthume. L'écrivain a prêté le flanc à cette volée de bois vert en adaptant lui-même son livre "La Possibilité d'une île" dont il avait déjà en tête le projet cinéma lors de sa sortie puisqu'il a changé d'éditeur pour financer le film, etc... Aurait-il dû le faire sous un pseudonyme, comme l'a tenté Lelouch dans un premier temps avec "Roman...