Dernier jour à Edinburgh (mercredi 30.07)
Fin du voyage. La voiture est retournée ce matin à 11H00. Retour à la civilisation, aux bus, à la faune des grandes villes. Et en même temps, sous des plaques de ciel bleu, la majesté d’une capitale sous l’aile de son château et des quartiers médiévaux du Royal Mile. Edinburgh s’apprête au grand festival annuel du « tatoo ».
Quelques mouettes crient de la même voix que dans les falaises du brough. Les airs de cornemuse pour touristes, les boutiques à souvenirs, ajoutent leur note particulière et font défiler en version kitch toutes les images tellement plus précieuses et indicibles des Highlands.
Nous passons du National Museum of Scotland au National Portrait Museum. L’occasion de retrouver quelques figures importantes et de retisser les derniers liens entre certains grands repères de l’histoire écossaise : Macbeth, Wallace, Robert the Bruce, Bonnie Prince Charlie, Culloden, Walter Scott, Robert Burns…
Je finirai sur deux dictons écossais que le laisse à l’appréciation du lecteur et qui anticipent à leur manière sur la série de maximes entamée il y a quelque temps dans ce blog.
En Ecosse, quand on voit les nuages, c’est qu’il va pleuvoir. Quand on ne les voit pas, c’est qu’il pleut.
Many things have not been done because many things have not been attempted.