Magazine

Veronique Olmy * Les femmes sont des caryatides. Elles portent le monde. *

Publié le 19 septembre 2008 par Auteurstv
C’est à l’Hôtel des Saints-Pères, tout a côté de la Maison Grasset où elle est publiée que je retrouve Véronique Olmi dont le dernier livre « La promenade des Russes » est en librairie depuis quelques jours.
Le lieu est important. D’abord parce qu’il est beaucoup question d’hôtels dans les romans de l’auteure, et aussi parce que Véronique Olmi tient à cette neutralité pour ce genre de rencontre. La voilà, plus « endormie que stressée », celle qui commença en littérature « par un double infanticide ».
Ses livres sont souvent des coups de poings ; mais le dernier, plein d’humour. Nous en parlerons. De ça et des femmes. De son immense amour des femmes. Mais aussi d’érotisme, de crudité, des mots pour dire le sexe et les corps.
A la fin du montage, je l’appelle pour valider quelques points avec elle. Et notamment cette phrase, tout à la fin « Je rêverais de passer plus de temps sur un livre. Mais je ne peux pas. J’ai besoin d’argent ». Qui en dit long sur le statut de l’auteur et de son incidence sur la production littéraire. Au téléphone, Véronique en rit « J’assume ! Pas de langue de bois ! »

Veronique Olmi

PS : comme les Editions Grasset ont eu la gentillesse de m’expédier par erreur deux volumes de « La promenade des Russes », je me propose de vous en faire gagner un.
Pour cela, vous devrez répondre à la question : « La grand-mère de Véronique n’est-elle pas une grand-mère : a) confiture ? b) pudding ? c) gâteau ? »
La réponse est à envoyer à auteurstv (aro_base) hotmail.fr
q cite=""> <strike> <strong>

Retour à La Une de Logo Paperblog