Privée de toute connexion internet pendant un temps qui s’annonce long, je stocke les notes dans les tréfonds du disque dur et vous les envoie au hasard de mes nomadisations wi-fi.
Mercredi 17 septembre
Mais quand cette folie cessera-t-elle ?
Je n’en sais pas plus que ce que j’en ai entr’aperçu en chopant cette alerte de Ouest-France, un de ces rares jours où je pouvais récupérer mes mails :
Je suppose (je n’ose dire “j’en mets ma main à couper”, ce serait mal venu) que le motif est religieux, que la bondieuserie locale a encore fait des siennes, et s’il n’y avait pas des humains victimes de cette sauvagerie, j’en rirais presque tant tout cela est ridicule.
Dans un même ordre d’idée, je lisais il y a peu qu’en Iran (je crois bien que c’est en Iran, à vérifier là aussi) qu’un individu lambda ayant, au plus profond de son téléphone portable, une photo ou un texto interdits (genre mots d’amour ou femme montrant ses genoux, c’est péché, le genou), pouvait sans autre forme de procès être arrêté et incarcéré, l’objet du délit étant saisi. Vont se faire une belle collection de filles à poil, les flics, à ce rythme-là.
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