La chanson du chapelier fou

Duh!

Hé dites-donc les mycoses plantaires, on aurait pas oublié un petit quelque chose là? Tu ne sens pas un peu comme un grand vide dans le grand déroulement de la suite billetesque? Un vide que genre tu te lèves le matin sans bien savoir pourquoi et quand t’as plus de chaussettes propres bah tu remets celles de la veille parce que dans le fond, ça pue pas - qu’on se dit.

(moi je suis pas concernée, je vis au 17ème siècle. Et au 17ème siècle, on avait pas de chaussettes couillon! Mais on puait de partout rapport que l’hygiène c’était un peu moins notre délire que le menuet et la branle)(et quand je dis “la branle”, je parle de la danse, tu m’auras comprise)

Et si! Je te le dis tout de go, sans warning pré-ambulatoire, cash, comme on dit dans ces lieux de perdition langagiaire que sont les labels rap/hip hop/r’n'b: on a un peu omis le fêtage du 100ème billet.

Billet qui, comme vous le savez tous, est toujours l’occasion pour le bloggeur de masquer habilement son manque d’inspiration derrière une fausse jouasserie à base de “putain trop il dure mon blog bientôt ptêtre même je vais devenir une inflatulente. Une influente. Bref, une nana trop importante quoi!”.

D’ailleurs tiens; je demande le vote du public: “Elsa, influente. Oui, mais en quoi?”

(et attention à vos réponses les gens hein, que y’a du duel au sabre laser Toys’R'us qui pourrait bien avoir lieu)