Le New York Times a récemment publié un article sur l’empreinte environnementale du transport de produits alimentaires dans le monde entier. Dans l’article en question, l’auteur prend comme exemple deux bouteilles de vin, l’une vient de la Vallée de la Loire, l’autre de la Napa Valley, et les deux sont expédiées à New York. Question : laquelle a l’empreinte écologique la plus forte en terme d’émission de CO2 ?
Réponse : celle qui vient de Californie.
Très peu de différences au niveau de la culture des raisins, de la fermentation du moût ou de la consommation énergétique du domaine. Mais l’écart se creuse quand on aborde le vieillissement, car les fûts principalement utilisés pour le vieillissement des vins en Californie viennent de France… d’où la pollution liée au transport des fûts en question.
Mais ce n’est rien par rapport à l’écart qu’il y a au niveau du transport de la bouteille elle-même : expédier une bouteille d’un bout à l’autre des États-Unis produit 3 fois plus de CO2 que (more…)
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