Publiée le 13 septembre, l'interview du Président russe par Etienne Mougeotte est bourrée de fautes de traduction et de coupes qui ménagent les susceptibilités du gouvernement français, notamment sur l'Afghanistan. Une belle œuvre de propagande officielle en temps de guerre.
Silence coupable sur l'Afghanistan
Comme le relève une blogueuse russophone qui a comparé la version française du Figaro à celle publiée en russe sur le site du Kremlin, le quotidien du groupe Dassault n'a pas hésité à récrire et censurer l'interview afin de la rendre plus présentable, et surtout plus douce aux oreilles de son maître, Nicolas Sarkozy.
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ON APPELLE CELA : LA LIBERTE DE LA PRESSE VUE PAR NICOLAS 1er.