Le Grand Prix d’Italie nous a offert le plus jeune pôle-man et le plus jeune vainqueur en F1 grâce à la pluie et au talent de Sébastien Vettel. La prochaine manche, le Grand Prix de Singapour le 28 septembre, devrait être tout aussi spectaculaire. Non pas parce qu’il s’agit d’un Grand Prix en ville, mais surtout parce qu’il s’agit du premier Grand Prix de nuit de l’histoire de la Formule 1. Ce Grand Prix nocturne est rendu possible grâce à un éclairage 4 fois supérieur à celui d’un stade de foot. L’une des contraintes majeur et indispensable pour la sécurité est le non éblouissement des pilotes malgré la puissance de l’éclairage. Tous les 32 mètres sur les 5067 que compte ce circuit, un pylône haut de 10 mètres allume la piste grâce à 8 projecteurs.
Toujours dans un souci de sécurité les drapeaux des commissaires de course sont remplacer par des panneaux lumineux à LED (le circuit en compte environ 35).
Pas moins de 12 générateurs sont nécessaire pour alimenter en électricité cette installation. En attendant voici une simulation commenté par Mark Webber et le plus jeune vainqueur de Grand Prix Sébastien Vettel.