Il est coutumier du fait. Les
cinéphiles qui sont à Orléans depuis plusieurs années ont déjà vu des affiches jaunes sur les portes des cinémas du propriétaire des deux multiplexes. Parfois ses victimes sont les journalistes,
parfois les politiques.
Encore une fois, il insulte.
Cette fois-ci c'est le sénateur socialiste Jean-Pierre Sueur qui est sa cible. Je cite : "Quand un homme politique n'est plus rien (un astérisque précise le sens de rien : sénateur et
socialiste), il ne lui reste pour "exister" que : le mensonge, la démagogie, le ridicule. Triste fin de carrière".
Apparemment, c'est l'article publié dans La Rep d'hier qui ne plait pas à ce grossier personnage. Jean-Pierre Sueur y défendait "la sauvegarde de l'UGC", sans pour autant attaquer le Pathé.
Comme si cela ne suffisait pas, ce même commerçant attaque les journalistes dans une "lettre ouverte à quelques journalistes aux idées courtes" imprimée sur les horaires des films de ses
cinémas.
Et là encore, il use et abuse d'insultes: "journaleux à la petite semaine", "petits journalistes frustrés de ne pas présenter le 20h de TF1 ou de ne pas écrire dans LE MONDE".
Alors, vous je ne sais pas, mais moi, je n'ai pas envie d'enrichir cet immonde personnage. Je ne mets plus les pieds dans ses cinés !
photo CDG