Plusieurs sociétés sont soupçonnées d’avoir contribué à “blanchir” les déchets toxiques d’une filiale d’ArcelorMittal (Sollac Dunkerque) -qui dément son implication- en les revendant comme carburant en Belgique, selon des informations de presse confirmées mercredi par le parquet.Saisi par la Direction régionale des douanes, le parquet de Dunkerque a ouvert en juillet une information judiciaire pour exportation non déclarée de marchandises prohibées, faux et usage de faux, concussion et corruption. Aucune mise en examen n’a été encore prononcée.
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