Dans son article La relève part pour Kaboul, Le Parisien rapporte l’ambiance au sein des parachutistes dont le départ est imminent. Une information nous a interpellé :
"Le week-end dernier, un autre sujet de conversation était sur toutes les lèvres : la désertion de Makhou, un Sénégalais qui a pris la poudre d’escampette via la gare de Castres, un matin à l’aube, à une semaine du départ. "Il était volontaire, c’est lâche pour ceux qui nous attendent là-bas", juge Philippe, pour sa part heureux d’avoir été sélectionné.
Le "Sénégalais" a forcément la bi-nationalité, car pour intégrer l’armée française, il faut être français, exception de la Légion étrangère évidemment.
Cela amène à plusieurs réflexions :
- La bi-nationalité devrait être interdite, il ne peut y avoir de double allégeance, surtout pour des militaires ne pouvant servir deux patries aux intérêts souvent divergents.
- Les Sénégalais sont à 95% musulmans. Or, en Islam, il est interdit de faire la guerre à ses coreligionnaires tant qu’ils restent orthodoxes.
- Le Sénégalais du "8" a sûrement dû avoir un lourd cas de conscience, ses fréquentations ont également pu le décourager de trahir la nation islamique, transnationale.
Il est grand temps de s’interroger sur la pertinence d’accueillir des soldats musulmans dans l’armée française : viennent-ils pour la solde et l’aventure ou sincèrement pour défendre la France ?
Source du texte : OBSERVATOIRE DE L'ISLAMISATION
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