"Une faillite de AIG aurait eu des conséquences énormes et aurait pu entraîner l'effondrement d'autres grands établissements financiers au niveau mondial," explique Timothy Canova, professeur de droit économique à l'Université Chapman en Californie.
Alors qu'il restait moins de 24 heures à AIG avant le dépôt de bilan, cette mesure draconienne vise à éviter une panique financière généralisée tandis que depuis le 15 septembre les banques centrales inondent les marchés de liquidités pour éviter une contraction du crédit.
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