Chef d’oeuvre n°3 : Komodo

Suite des aventures de Patrick et le vilain concessionnaire pétrolifère. Le début était donc ici.

Donc la tante se fait boulotter. La psy voit que c’est par un dragon de Komodo donc elle cesse d’enquiquiner le monde avec ses syndromes post traumatiques.

Tous s’enfuient et “comme Komodo écumant, mort au tournant”, ils percutent la voiture des deux gardiens. La psy qui est relativement perspicace trouve “qu’il se passe vraiment des trucs bizarres ici”.

Pendant ce temps le copain noir se fait bouffer. Vu que le dragon ne connaît pas bien l’hygiène buccale et se trimballe avec plus de microbes en bouche qu’un WC des Eurockéennes, il meurt. Le noir, pas le dragon. C’est normal ; c’est une constante dans le film d’horreur ; le noir meurt.

Là le méchant ne veut pas venir les aider sinon ca lui foutrait en l’air son gisement.
Tout le monde est donc bien bien énervé surtout Patrick. Il arrache le coeur d’un varan mort qui traînait par là et disparaît.

Tous partent à sa recherche et lui tombent dessus, souffrant du syndrome rambo. Nous le retrouvons torse nu, des dessins sur le torse avec du sang de varan. Il est en train de faire brûler un bébé varan sur un barbecue ce qui attire la famille qui est fâchée. Là il les attrape au lasso et pof les tue avec un harpon. Couillu dirai je.
La psy elle, les tue à coups de cailloux.

Après le gentil les sauve avec un hélicoptère qu’il a volé au méchant. Ils arrivent dans une ville avoisinante et attendent l’ouverture d’un snack pour manger un sandwich.