Le leader de la CGT Bernard Thibault estime, dans un entretien à l’AFP, que la journée d’action du 7 octobre “sera un moment de vérité” pour un gouvernement qui “donne le sentiment d’entendre pour la forme mais de ne pas écouter sur le fond” et se retrouve “en décalage” avec les salariés.Après une rentrée 2007 “où, dans la foulée de l’élection présidentielle, chacun attendait de voir quelles allaient être les premières réformes” du nouveau gouvernement, la CGT ne veut pas rater le rendez-vous de 2008.
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