Pourtant, direz-vous, ce n'est pas faute d'avoir construit des logements et d'avoir délivré des permis de construire ici et là. Il faut croire que Louviers est victime de plusieurs maux : la situation économique n'est pas bonne, la ville vieillit, les impôts sont très élevés et nombre de Lovériens ont quitté leur ville d'origine pour habiter à la campagne.
Ce phénomène est peut-être lié, en partie, à l'existence de l'agglomération Seine-Eure. Il suffit d'habiter l'une des 29 communes adhérentes pour bénéficier de certains services réservés, auparavant, aux Lovériens. C'est la logique de territoire tant vantée par le président de la CASE qui, finalement, doit se satisfaire de ce résultat. C'est aussi le fruit de sa politique.