L’espoir de pacification en Bolivie ne tenait qu’à un fil dimanche après les violences dans le pays, où le président Evo Morales a renforcé la présence de l’armée dans les régions tenues par l’opposition, qui a menacé de rompre le dialogue en cas de nouvelle victime.Les gouverneurs des cinq provinces rebelles ont accepté, à cette seule condition, d’envoyer leur porte-parole, Mario Cossio, gouverneur de la région de Tarija (sud), reprendre des négociations au palais présidentiel de La Paz, après des affrontements qui ont fait 18 morts et une centaine de blessés.
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