Je n'aurais publié aucun billet sur la grossesse de Rachida Dati si je n'avais pas lu cet article, dans le courrier international, d'un chroniqueur saoudien qui rappelle, à juste titre, que les personnes arabes qui s'autorisent à commenter cet événement strictement personnel de surcoît de manière indécessante n'ont pas à le faire.
Voici un échantillon de ces personnes qui se mêlent de ce qui ne les regarde pas.