Communiqué de presse de X.J CONSULTANTS

Publié le 12 septembre 2008 par Xavier1
Communiqué de presse
X.J CONSULTANTS


Des imbéciles prétendent à Ivry que je n'arrive pas à trouver de clients, et que ce que je fais ne marche pas.
Faux. J'ai des clients. De bons clients. Pas très friqués, mais de bons clients quand même. Et ce que je fais marche.

Mon activité demande 2 ans pour décoller. Deux ans de galère.  Moi, cela fait quand même 3 ans que je suis dans le coup. Et je décolle enfin.

Je tenais à faire taire ces rumeurs infondées en provenance des salariés de gauche à Ivry, des communistes qui ne savent rien du monde des affaires et qui critiquent sans rien savoir. Je n'oublie pas non plus des imbéciles d'enseignants bien pensant et qui ne savent rien du tout de la vie puisqu'ils n'ont jamais de leur vie en fait quitté l'école.

J'ai remarqué que les femmes me critiquent. Surtout les jeunes femmes dans la vingtaine. Je les intéresse mais elles attendent que je gagne des millions pour s'approcher de moi. Une femme qui ne s'approche pas de moi maintenant, n'a aucune chance de s'approcher de moi une fois que j'aurai fait de X.J  CONSULTANTS une grosse structure.

Je ne m'intéresserai cela est évident, qu'à des femmes de standing supérieur une fois le succès atteint.

Pour informer les femmes, je leur dirais de cesser de lire les magazines féminins dans lesquels on raconte qu'il ne faut pas s'intéresser aux hommes en difficulté. Personnellement je ne me considère pas en difficulté. Je travail sur X.J CONSULTANTS entre 15 et 16 heures par jour. Parfois plus. C'est beaucoup. J'ai des nuits souvent courtes. Si les femmes trouvent que j'ai des problèmes, c'est leur problème. Pour moi, les femmes et les jeunes femmes d'aujourd'hui ont un vrai problème: elles sont quasiment toutes vénales. Pas de place pour les sentiments, le cul en échange de l'argent.  C'est la vérité.

Trouver une femme qui me soutiendrait dans mon activité est ce qu'il me faut. Car l'avenir se fait toujours à deux. Une femme qui veut s'installer tout de suite dans le confort, c'est une putain. Pas une femme. Car à la première difficulté financière de son mari, elle le plaquera pour offrir ses fesses à un autre. C'est triste mais c'est vrai. Et c'est comme cela tous les jours. Les tribunaux débordent de ce genre d'affaires.

Ca va les femmes, pas trop vexées?

Xavier  Jaffré


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