Finalement, le quotidien est à l’image d’un pays qui, juridiquement, a fait son tri entre le révisionnisme insupportable, de facture criminelle, et celui, de bon ton, que l’on peut même aller défendre sur des plateaux-bavoirs de télévision.
Certains confondent l’analyse géostratégique du 11.09, la critique en amont et en aval de l’attaque avec la crétinerie simpliste du complot. L’un des colporteurs de cette fiente
La voie naturelle, si le courage avait quelque droit de cité au
Pour prolonger l’imparable logique de ces chevaliers rances : les attentats en Espagne ont, sans aucun doute, été commandés par Zapatero et ceux de Londres par l’empaffé Blair, l’ex croupion de Bush… Et Al Qaida ? Rien qu’un folklore en trompe l’œil…
Ces collabos-là, ceux qui défendent ces thèses, ne risqueront-ils jamais rien sur notre sol ? Nous allons les laisser insulter et traîner dans la merde notre choix de civilisation ainsi que minimiser, voire nier, jusqu’à l’indécence, la responsabilité première des intégristes islamistes ?
Cela m’inclinerait presque à me dispenser de tout sens critique contre l’administration Bush tant il faut se démarquer de ces ordures ordinaires, dérisoires et anonymes. Là, c’est l’instinct civilisationnel qui doit primer toute exégèse des terribles attentats de 2001.